Le Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (Pracas) a permis de réaliser des résultats probants durant sa première phase de mise en œuvre.
L’affirmation est faite dans la Revue annuelle conjointe (Rac) évaluant la mise en œuvre des programmes et politiques du Plan Sénégal émergent (Pse).
Selon le document de 84 pages, sur la période 2014-2018, le budget du ministère de l’Agriculture et de l’équipement rural a enregistré une hausse de près de 13% pour se situer à 195 milliards 508 millions de francs CFA en 2018. Ce qui représente une hausse de 50% par rapport à 2017.
« La valeur ajoutée qui était de 780 milliards 400 millions en 2014 a connu une progression de 9,16% entre 2016 et 2017 pour se situer à 1 189 milliards 900 millions de francs en 2018», informe la Rac-2019.
Qui ajoute que la production céréalière a plus que doublé sur la période 2014-2018, passant de 1 million 251 mille 248 tonnes en 2014 à 2 millions 838 mille 938 tonnes en 2018.
En moyenne annuelle, cette hausse est, d’après le rapport, évaluée à 2 millions 176 mille 713 tonnes sur la même période et a connu une augmentation de 317 mille 557 tonnes.
D’après toujours le document, cette performance est tirée par les fortes contributions des productions de riz (40,73%), du mil (31,06%) et du maïs (17,11%).
Par ailleurs, le rapport souligne que la filière arachidière a enregistré une production moyenne annuelle de 903 mille 559 tonnes sur la période 2014-2018 et par rapport à 2017 (1 million 405 mille 223 tonnes), elle est évaluée en 2018 à 1 million 500 mille 588 tonnes traduisant une progression de 7% malgré la baisse des superficies emblavées.
En plus des filières céréalière et arachidière, ces avancées notées dans l’agriculture sénégalaise sont dues aux performances des autres secteurs de production tels celui du coton, de l’oignon, de la pomme de terre et de l’horticulture.
Bassirou MBAYE
L’affirmation est faite dans la Revue annuelle conjointe (Rac) évaluant la mise en œuvre des programmes et politiques du Plan Sénégal émergent (Pse).
Selon le document de 84 pages, sur la période 2014-2018, le budget du ministère de l’Agriculture et de l’équipement rural a enregistré une hausse de près de 13% pour se situer à 195 milliards 508 millions de francs CFA en 2018. Ce qui représente une hausse de 50% par rapport à 2017.
« La valeur ajoutée qui était de 780 milliards 400 millions en 2014 a connu une progression de 9,16% entre 2016 et 2017 pour se situer à 1 189 milliards 900 millions de francs en 2018», informe la Rac-2019.
Qui ajoute que la production céréalière a plus que doublé sur la période 2014-2018, passant de 1 million 251 mille 248 tonnes en 2014 à 2 millions 838 mille 938 tonnes en 2018.
En moyenne annuelle, cette hausse est, d’après le rapport, évaluée à 2 millions 176 mille 713 tonnes sur la même période et a connu une augmentation de 317 mille 557 tonnes.
D’après toujours le document, cette performance est tirée par les fortes contributions des productions de riz (40,73%), du mil (31,06%) et du maïs (17,11%).
Par ailleurs, le rapport souligne que la filière arachidière a enregistré une production moyenne annuelle de 903 mille 559 tonnes sur la période 2014-2018 et par rapport à 2017 (1 million 405 mille 223 tonnes), elle est évaluée en 2018 à 1 million 500 mille 588 tonnes traduisant une progression de 7% malgré la baisse des superficies emblavées.
En plus des filières céréalière et arachidière, ces avancées notées dans l’agriculture sénégalaise sont dues aux performances des autres secteurs de production tels celui du coton, de l’oignon, de la pomme de terre et de l’horticulture.
Bassirou MBAYE