‘’Il faut prendre une période dans l’année où l’on ne fait pas que la promotion du riz local’’, a dit M. Sarr au cours d’une visite des périmètres agricoles des producteurs de la vallée. Il a tenu une séance de travail avec les organisations paysannes.
Le ministre a appelé les acteurs de cette filière ‘’à organiser une foire pour exposer tous les problèmes du riz local et fournir toutes les informations sur le niveau de qualité atteint par ce riz’’.
Alioune Sarr a aussi demandé aux producteurs de riz d'explorer le marché international, révélant que le Maroc et le Nigeria sont demandeurs du riz local.
Selon le ministre, pour résoudre les difficultés de ce secteur, ‘’il faut prendre des mesures courageuses et chercher à réduire les coûts de production pour rendre le riz compétitif’’.
L’exemple de la filière tomate en termes d’organisation et de commercialisation a été donné aux producteurs de riz pour dépasser ces problèmes de commercialisation.
‘’Augmentez votre taille de marché et faites le riz entier’’, a lancé le ministre, avant de s'interroger : ‘’On n’arrive pas à écouler 350 000 t, qu’en sera-t-il avec 1 000 000 t à l’horizon 2018’’.
Le directeur général adjoint de la Société pour l'aménagement et l'exploitation du Delta et la Falémé (SAED), Seyni Ndao, a plaidé pour l’ouverture du marché du riz local à d’autres privés, notant que pour l’heure seule la société Vital y est présente.
Cette dernière se retrouve avec 1200 tonnes d’invendus pour lesquelles des solutions ont été données par les producteurs. Ils proposent notamment à l’Etat de l’acheter pour les besoins de la consommation des militaires et des dons offerts à l’occasion des manifestations religieuses.
APS
Le ministre a appelé les acteurs de cette filière ‘’à organiser une foire pour exposer tous les problèmes du riz local et fournir toutes les informations sur le niveau de qualité atteint par ce riz’’.
Alioune Sarr a aussi demandé aux producteurs de riz d'explorer le marché international, révélant que le Maroc et le Nigeria sont demandeurs du riz local.
Selon le ministre, pour résoudre les difficultés de ce secteur, ‘’il faut prendre des mesures courageuses et chercher à réduire les coûts de production pour rendre le riz compétitif’’.
L’exemple de la filière tomate en termes d’organisation et de commercialisation a été donné aux producteurs de riz pour dépasser ces problèmes de commercialisation.
‘’Augmentez votre taille de marché et faites le riz entier’’, a lancé le ministre, avant de s'interroger : ‘’On n’arrive pas à écouler 350 000 t, qu’en sera-t-il avec 1 000 000 t à l’horizon 2018’’.
Le directeur général adjoint de la Société pour l'aménagement et l'exploitation du Delta et la Falémé (SAED), Seyni Ndao, a plaidé pour l’ouverture du marché du riz local à d’autres privés, notant que pour l’heure seule la société Vital y est présente.
Cette dernière se retrouve avec 1200 tonnes d’invendus pour lesquelles des solutions ont été données par les producteurs. Ils proposent notamment à l’Etat de l’acheter pour les besoins de la consommation des militaires et des dons offerts à l’occasion des manifestations religieuses.
APS