L’initiative « Choose Africa », constitue une réelle opportunité de financement des micros et moyennes entreprises. C’est la conviction de Amadou Ba. Il s’exprimait ce lundi lors du lancement de cette initiative du président français Emmanuel Macron. C’était en présence de son homologue Bruno Le Maire. «Sous ce rapport, l’initiative « Choose Africa » constitue, à côté des efforts des organisations sous-régionales, de l’Union africaine à travers son agenda 2063, et de la Banque africaine de Développement- une réelle opportunité de financement et d’encadrement des micro et moyennes entreprises », a déclaré M. Ba.
Il affirme que cette généreuse idée du président Emmanuel Macron concrétise la volonté de la France d’accompagner la révolution de l’entreprenariat et de l’innovation en Afrique. Il a rappelé que le président Macron avait pris l’engagement ferme en novembre 2017 à Ouagadougou, au Burkina Faso, d’accompagner la révolution de l’entrepreneuriat et de l’innovation en Afrique. «Il a compris que ce continent est une terre d’innombrables opportunités de partenariats mutuellement bénéfiques.
L’Afrique est l’une des régions les plus dynamiques au monde. Ces dernières années, beaucoup d’efforts ont été fournis par les gouvernements africains pour améliorer l’offre d’infrastructures productives, renforcer l’accès aux facteurs techniques de production surtout l’énergie, lutter contre les rigidités du facteur travail, adapter l’offre d’éducation et de formation aux besoins de l’entreprise, et assainir l’environnement de l’entreprise à travers un bon système de gouvernance », a confié le ministre des Finances. Il a félicité vivement son homologue pour avoir rendu opérationnelle avec célérité, la vision du Président Emmanuel Macron.
«Grâce à elle, la France met à la disposition des start-up, TPE et PME africaines qui sont les principaux vecteurs d’inclusion sociale -à côté de l’économie agricole, un montant de 2,5 milliards d’euros sur une période de 4 ans », a souligné Amadou Ba. Il dit espérer que le programme « Choose Africa » permettra d’améliorer la valorisation du savoir-faire des jeunes et femmes en Afrique dans un partenariat gagnant-gagnant avec les entreprises étrangères, à travers la structuration des chaînes de valeur, pour une meilleure connexion aux marchés porteurs.
Il a saisi cette occasion pour inviter l’Afd à réserver une part significative du financement dédié aux Pme et start up, à l’implantation d’incubateurs et à œuvrer, à côté des pouvoirs publics et des collectivités locales, à l’érection de zones dédiées à la recherche de synergies avec les grandes entreprises. Le ministre des Finances souligne que le succès sera également source de motivation pour le secteur informel, dans l’optique d’une transition souple et graduelle vers une économie formelle.
Adou FAYE
Il affirme que cette généreuse idée du président Emmanuel Macron concrétise la volonté de la France d’accompagner la révolution de l’entreprenariat et de l’innovation en Afrique. Il a rappelé que le président Macron avait pris l’engagement ferme en novembre 2017 à Ouagadougou, au Burkina Faso, d’accompagner la révolution de l’entrepreneuriat et de l’innovation en Afrique. «Il a compris que ce continent est une terre d’innombrables opportunités de partenariats mutuellement bénéfiques.
L’Afrique est l’une des régions les plus dynamiques au monde. Ces dernières années, beaucoup d’efforts ont été fournis par les gouvernements africains pour améliorer l’offre d’infrastructures productives, renforcer l’accès aux facteurs techniques de production surtout l’énergie, lutter contre les rigidités du facteur travail, adapter l’offre d’éducation et de formation aux besoins de l’entreprise, et assainir l’environnement de l’entreprise à travers un bon système de gouvernance », a confié le ministre des Finances. Il a félicité vivement son homologue pour avoir rendu opérationnelle avec célérité, la vision du Président Emmanuel Macron.
«Grâce à elle, la France met à la disposition des start-up, TPE et PME africaines qui sont les principaux vecteurs d’inclusion sociale -à côté de l’économie agricole, un montant de 2,5 milliards d’euros sur une période de 4 ans », a souligné Amadou Ba. Il dit espérer que le programme « Choose Africa » permettra d’améliorer la valorisation du savoir-faire des jeunes et femmes en Afrique dans un partenariat gagnant-gagnant avec les entreprises étrangères, à travers la structuration des chaînes de valeur, pour une meilleure connexion aux marchés porteurs.
Il a saisi cette occasion pour inviter l’Afd à réserver une part significative du financement dédié aux Pme et start up, à l’implantation d’incubateurs et à œuvrer, à côté des pouvoirs publics et des collectivités locales, à l’érection de zones dédiées à la recherche de synergies avec les grandes entreprises. Le ministre des Finances souligne que le succès sera également source de motivation pour le secteur informel, dans l’optique d’une transition souple et graduelle vers une économie formelle.
Adou FAYE