Selon une note d’informations, lors de cette mission, le ministre de l’Économie et des Finances a eu plusieurs entretiens et des échanges approfondis avec les dirigeants du Fmi et du Groupe de la Banque mondiale sur les défis économiques et sociaux auxquels fait face le Mali, ainsi que sur les réformes envisagées pour y répondre de manière efficace et durable, dans un contexte marqué par des chocs exogènes et des fragilités structurelles.
Ces rencontres, ajoute la même source, ont permis de passer en revue l’état de la coopération existante et de poser les jalons des nouvelles perspectives conformes aux orientations des plus hautes autorités du Mali en matière de politique économique, financière et budgétaire.
Lors des discussions, le ministre de l'Économie et des Finances a exposé la situation socioéconomique au Mali, les progrès réalisés malgré les nombreuses contraintes. Il a expliqué les nombreux défis à relever notamment l’accès des populations aux services sociaux de base et exposé les priorités en matière de projets de développement à mettre en œuvre. Aussi, la mission a souhaité la restructuration de certains projets pour répondre mieux aux besoins actuels réels du pays.
« La Banque mondiale est le premier partenaire multilatéral du Mali qui a financé au Mali plus de 1500 milliards de FCFA de projets. Certains sont finis, d'autres sont en cours de réalisation. Il s’agissait de voir avec la Banque mondiale les axes d’amélioration et d'analyser des défis. En termes de résultats, cette mission a permis de nous accorder avec la Banque mondiale sur plusieurs sujets notamment le projet de construction d’écoles, dans le cadre du Projet Miqra, où des fonds supplémentaires vont être alloués. Dans le cadre de l’amélioration de la fourniture d’énergie, ils sont d’accord pour mettre à la disposition du Mali soixante (60) millions de dollars immédiatement pour permettre à Energie du Mali SA de faire face aux achats de carburants ou d'énergie à partir des pays de l'Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (Omvs) et également de nous accompagner dans le cadre d’autres projets sur la réalisation d’infrastructures photovoltaïques pour charger le mix énergétique » a expliqué le ministre Alousséni Sanou.
Ces rencontres, ajoute la même source, ont permis de passer en revue l’état de la coopération existante et de poser les jalons des nouvelles perspectives conformes aux orientations des plus hautes autorités du Mali en matière de politique économique, financière et budgétaire.
Lors des discussions, le ministre de l'Économie et des Finances a exposé la situation socioéconomique au Mali, les progrès réalisés malgré les nombreuses contraintes. Il a expliqué les nombreux défis à relever notamment l’accès des populations aux services sociaux de base et exposé les priorités en matière de projets de développement à mettre en œuvre. Aussi, la mission a souhaité la restructuration de certains projets pour répondre mieux aux besoins actuels réels du pays.
« La Banque mondiale est le premier partenaire multilatéral du Mali qui a financé au Mali plus de 1500 milliards de FCFA de projets. Certains sont finis, d'autres sont en cours de réalisation. Il s’agissait de voir avec la Banque mondiale les axes d’amélioration et d'analyser des défis. En termes de résultats, cette mission a permis de nous accorder avec la Banque mondiale sur plusieurs sujets notamment le projet de construction d’écoles, dans le cadre du Projet Miqra, où des fonds supplémentaires vont être alloués. Dans le cadre de l’amélioration de la fourniture d’énergie, ils sont d’accord pour mettre à la disposition du Mali soixante (60) millions de dollars immédiatement pour permettre à Energie du Mali SA de faire face aux achats de carburants ou d'énergie à partir des pays de l'Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (Omvs) et également de nous accompagner dans le cadre d’autres projets sur la réalisation d’infrastructures photovoltaïques pour charger le mix énergétique » a expliqué le ministre Alousséni Sanou.
Avec le Directeur-adjoint du Fmi et le Directeur Afrique, les échanges ont essentiellement porté sur l’octroi d’une Facilité de crédit rapide (Fcr) à notre pays et la réalisation d’un Consultation au titre de l’Article 4 des statuts du Fmi.
« Avec le fonds nous avons décidé de la mise en place d’une Facilité de crédit rapide (Fcr) qui va s’évaluer entre 90 à 100 millions de dollars et va permettre à l’Etat du Mali de faire face aux dépenses nécessaires pour le retour de l’Etat dans le Centre et dans le Nord pour la reconstruction des écoles, des centres de santé, les kits alimentaires et d’urgence pour les familles de retour » a fait savoir le ministre Alousséni Sanou.
Une mission de travail du Fmi séjournera à Bamako du 22 au 26 avril prochain afin d’approfondir les discussions.
Adou FAYE
« Avec le fonds nous avons décidé de la mise en place d’une Facilité de crédit rapide (Fcr) qui va s’évaluer entre 90 à 100 millions de dollars et va permettre à l’Etat du Mali de faire face aux dépenses nécessaires pour le retour de l’Etat dans le Centre et dans le Nord pour la reconstruction des écoles, des centres de santé, les kits alimentaires et d’urgence pour les familles de retour » a fait savoir le ministre Alousséni Sanou.
Une mission de travail du Fmi séjournera à Bamako du 22 au 26 avril prochain afin d’approfondir les discussions.
Adou FAYE