Selon un communiqué de presse, l’édition 2023 des Assemblées annuelles se tient sous le thème « Mobiliser les financements du secteur privé en faveur du climat et de la croissance verte en Afrique ». Ce thème, renseigne la même source, offre aux gouverneurs du Groupe de la Banque un cadre leur permettant de partager leurs expériences, en matière de mobilisation des financements du secteur privé national et international et d'exploitation du capital naturel, afin de combler le déficit de financement climatique et de promouvoir la transition vers la croissance verte en Afrique.
«Si les tendances actuelles des flux de financement climatique reçus chaque année par l’Afrique se maintiennent, un déficit de financement climatique annuel pouvant atteindre 127,2 milliards USD subsistera jusqu’en 2030. L’Afrique pourrait ainsi perdre entre 2 % et 12 % de son PIB à l’horizon 2100, contre moins de 1 % pour les États-Unis et d’autres pays industrialisés », lit-on dans le document.
Les Assemblées annuelles du Groupe de la Banque africaine de développement se composent de réunions statutaires de ses gouverneurs -- ministres des finances ou gouverneurs de banque centrale représentant les 81 pays membres -- et d’évènements thématiques liés au savoir. Parmi les participants figurent des chefs d’Etats, des responsables d’organismes de développement bilatéraux et multilatéraux, des universitaires de renom et des représentants d’organisations non gouvernementales, de la société civile et du secteur privé.
La conférence de presse sera animée par Vincent Nmehielle, secrétaire général du Groupe de la Banque ainsi que Kevin Kariuki, vice‑président chargé de l’électricité, de l’énergie, du changement climatique et de la croissance verte, Solomon Quaynor, vice-président chargé de Secteur Privé, des Infrastructures et de l’Industrialisation, Kevin Urama, économiste en chef et vice‑président chargé de la Gouvernance économique et de la Gestion des connaissances et d’autres vice-présidents.
Adou Faye
«Si les tendances actuelles des flux de financement climatique reçus chaque année par l’Afrique se maintiennent, un déficit de financement climatique annuel pouvant atteindre 127,2 milliards USD subsistera jusqu’en 2030. L’Afrique pourrait ainsi perdre entre 2 % et 12 % de son PIB à l’horizon 2100, contre moins de 1 % pour les États-Unis et d’autres pays industrialisés », lit-on dans le document.
Les Assemblées annuelles du Groupe de la Banque africaine de développement se composent de réunions statutaires de ses gouverneurs -- ministres des finances ou gouverneurs de banque centrale représentant les 81 pays membres -- et d’évènements thématiques liés au savoir. Parmi les participants figurent des chefs d’Etats, des responsables d’organismes de développement bilatéraux et multilatéraux, des universitaires de renom et des représentants d’organisations non gouvernementales, de la société civile et du secteur privé.
La conférence de presse sera animée par Vincent Nmehielle, secrétaire général du Groupe de la Banque ainsi que Kevin Kariuki, vice‑président chargé de l’électricité, de l’énergie, du changement climatique et de la croissance verte, Solomon Quaynor, vice-président chargé de Secteur Privé, des Infrastructures et de l’Industrialisation, Kevin Urama, économiste en chef et vice‑président chargé de la Gouvernance économique et de la Gestion des connaissances et d’autres vice-présidents.
Adou Faye