Une réunion entre une délégation de la commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) conduite par son président Abdoulaye Diop, et la Société financière internationale (SIF) du groupe de la Banque mondiale se sont réunis, en marge des assemblées annuelles des institutions de Bretton Woods à Marrakech, pour signer un accord de coopération et de partenariat entre les deux partis.
Présent avec les membres de son équipe, le vice-président des services-conseil en transactions à la SFI, Emmanuel Nyirinkindi à confirmer son engagement envers la commission de l’UEMOA, à propos du développement des partenariats public-privé (PPP) dans la région de l'Union économique et monétaire ouest-africaine. « Nous sommes impatients de collaborer avec l’UEMOA pour libérer le pouvoir des PPP afin de soutenir les priorités de développement de l’Afrique de l’Ouest pour un avenir plus inclusif, durable et plus vert », a-t-il déclaré lors de cette discussion.
M. Abdoulaye Diop, président de la Commission de l'UEMOA, a aussi exprimé sa satisfaction au sujet de cet accord. Il a souligné par ailleurs son importance au regard des domaines qu’il vise à savoir : l'élaboration du guide des partenariats public-privé (PPP), le renforcement des politiques, et la stratégie de communication institutionnelle concernant les PPP. Il a de ce point de vue mis en avant le rôle essentiel du secteur privé, notamment dans les domaines de l'énergie et de l'économie numérique.
A ce titre, il a déclaré : « Le secteur privé est un élément essentiel, c’est pourquoi j’ai tenu à souligner que nous accompagnons la chambre consulaire régionale de l'UEMOA, qui regroupe les acteurs privés, en leur apportant des revenus financiers et en les associant à nos initiatives. »
Des propositions partagées par Emmanuel Nyirinkindi qui n’a pas manqué de rappeler que leur accord comprendra également « un soutien à la stratégie de communication de l’UEMOA sur les partenariats public-privé. »
Abdoulaye Diop a en outre annoncé des projets futurs visant à solliciter des investissements pour soutenir les secteurs de l'énergie et de l'économie numérique, non sans insister sur le fait que le secteur privé joue un rôle déterminant dans le développement et l'efficacité de l'allocation des ressources. Affichant toute sa satisfaction, il a conclu en ces termes : « Nous sommes convaincus que c’est avec le secteur privé que les problèmes vont se régler ».
Le président de la Commission de l’UEMOA est revenu aussi lors de cette signature sur l’importance du secteur de l’économie numérique qui est, selon lui, « un secteur prioritaire ». «Nous avons ce que nous appelons le PRDN (Programme régional de développement de l’économie numérique), précise-t-il avant d’ajouter que l’UEMOA l’a adopté l’année dernière ( 2022) et est en train de le déployer. C’est pourquoi le président de la Commission a terminé par une invitation aux membres de la SFI, à se rendre à la prochaine table ronde des bailleurs de fonds à Abidjan qui se tiendra du 27 au 29 novembre pour ainsi « contribuer au financement du secteur de l’énergie et du numérique ».
Luana Paulineau, Envoyée spéciale à Marrakech
Présent avec les membres de son équipe, le vice-président des services-conseil en transactions à la SFI, Emmanuel Nyirinkindi à confirmer son engagement envers la commission de l’UEMOA, à propos du développement des partenariats public-privé (PPP) dans la région de l'Union économique et monétaire ouest-africaine. « Nous sommes impatients de collaborer avec l’UEMOA pour libérer le pouvoir des PPP afin de soutenir les priorités de développement de l’Afrique de l’Ouest pour un avenir plus inclusif, durable et plus vert », a-t-il déclaré lors de cette discussion.
M. Abdoulaye Diop, président de la Commission de l'UEMOA, a aussi exprimé sa satisfaction au sujet de cet accord. Il a souligné par ailleurs son importance au regard des domaines qu’il vise à savoir : l'élaboration du guide des partenariats public-privé (PPP), le renforcement des politiques, et la stratégie de communication institutionnelle concernant les PPP. Il a de ce point de vue mis en avant le rôle essentiel du secteur privé, notamment dans les domaines de l'énergie et de l'économie numérique.
A ce titre, il a déclaré : « Le secteur privé est un élément essentiel, c’est pourquoi j’ai tenu à souligner que nous accompagnons la chambre consulaire régionale de l'UEMOA, qui regroupe les acteurs privés, en leur apportant des revenus financiers et en les associant à nos initiatives. »
Des propositions partagées par Emmanuel Nyirinkindi qui n’a pas manqué de rappeler que leur accord comprendra également « un soutien à la stratégie de communication de l’UEMOA sur les partenariats public-privé. »
Abdoulaye Diop a en outre annoncé des projets futurs visant à solliciter des investissements pour soutenir les secteurs de l'énergie et de l'économie numérique, non sans insister sur le fait que le secteur privé joue un rôle déterminant dans le développement et l'efficacité de l'allocation des ressources. Affichant toute sa satisfaction, il a conclu en ces termes : « Nous sommes convaincus que c’est avec le secteur privé que les problèmes vont se régler ».
Le président de la Commission de l’UEMOA est revenu aussi lors de cette signature sur l’importance du secteur de l’économie numérique qui est, selon lui, « un secteur prioritaire ». «Nous avons ce que nous appelons le PRDN (Programme régional de développement de l’économie numérique), précise-t-il avant d’ajouter que l’UEMOA l’a adopté l’année dernière ( 2022) et est en train de le déployer. C’est pourquoi le président de la Commission a terminé par une invitation aux membres de la SFI, à se rendre à la prochaine table ronde des bailleurs de fonds à Abidjan qui se tiendra du 27 au 29 novembre pour ainsi « contribuer au financement du secteur de l’énergie et du numérique ».
Luana Paulineau, Envoyée spéciale à Marrakech