L’événement a réuni les acteurs qui interviennent dans le financement des économies autour du thème ‘’Finance islamique et souveraineté alimentaire : opportunités de financement pour les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de l’agro-industrie’’.
L’initiateur de la rencontre, par ailleurs président de l’Institut africain de finance islamique a relevé l’importance voire la nécessité de développer l’industrie financière islamique qui connaît ‘’une forte croissance économique et un potentiel énorme’’.
Mouhamadou Lamine Mbacké, en l’occurrence, a soutenu que beaucoup d’avancées ont été enregistrées dans le cadre de la promotion de la finance islamique en Afrique.
Il a par ailleurs indiqué que l’un des objectifs recherchés à travers à travers l’organisation du forum est de ‘’favoriser la rencontre des plus grands experts de la finance islamique, dans le but de partager les meilleures pratiques’’.
Par ailleurs, le directeur de la stabilité financière à la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (Bceao) a souligné que, ‘’de façon générale, la finance elle-même peut aider à la souveraineté alimentaire’’.
Banassi Ouattara a fait constater qu’ « il existe une frange de la population qui ne répond pas à la finance classique en raison de diverses considérations, notamment tout ce qui est consommation d’intérêts ou produits prohibés par la charia, la loi islamique ».
Pour lui, ‘’le fait d’aller vers la finance islamique permet d’intégrer cette frange de la population dans le secteur financier, et cela contribue à la politique d’inclusion financière de la Bceao’’.
Bassirou MBAYE
L’initiateur de la rencontre, par ailleurs président de l’Institut africain de finance islamique a relevé l’importance voire la nécessité de développer l’industrie financière islamique qui connaît ‘’une forte croissance économique et un potentiel énorme’’.
Mouhamadou Lamine Mbacké, en l’occurrence, a soutenu que beaucoup d’avancées ont été enregistrées dans le cadre de la promotion de la finance islamique en Afrique.
Il a par ailleurs indiqué que l’un des objectifs recherchés à travers à travers l’organisation du forum est de ‘’favoriser la rencontre des plus grands experts de la finance islamique, dans le but de partager les meilleures pratiques’’.
Par ailleurs, le directeur de la stabilité financière à la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (Bceao) a souligné que, ‘’de façon générale, la finance elle-même peut aider à la souveraineté alimentaire’’.
Banassi Ouattara a fait constater qu’ « il existe une frange de la population qui ne répond pas à la finance classique en raison de diverses considérations, notamment tout ce qui est consommation d’intérêts ou produits prohibés par la charia, la loi islamique ».
Pour lui, ‘’le fait d’aller vers la finance islamique permet d’intégrer cette frange de la population dans le secteur financier, et cela contribue à la politique d’inclusion financière de la Bceao’’.
Bassirou MBAYE