Selon un communiqué de presse, l'Initiative est une plateforme multipartite et multisectorielle de membres du Panel, positionnée à l'intersection de la politique, de la recherche et de l'érudition, et des actions pour l'impact sur le continent africain. Elle vise à contribuer à l'émergence d'un meilleur avenir pour la santé et la résilience économique en Afrique, sur la base des expériences vécues avant et pendant la pandémie de Covid-19. Cette démarche s'inscrit dans le cadre de l'Agenda 2063 de l'Union africaine, qui envisage un continent uni, prospère, pacifique et centré sur ses citoyens, sur une planète durable.
Lors de ses délibérations à Dakar, le panel a défini des principes clés et des domaines prioritaires pour la réalisation de ses objectifs. «Il est urgent de réorienter les systèmes de santé africains vers l'autonomie et l'autosuffisance et de développer des stratégies et des partenariats en conséquence. Se concentrer sur la prévention et la promotion de la santé publique et du bien-être des communautés, de manière intégrée, en tenant compte de l'évolution de la charge de morbidité et des facteurs déterminants, tels que l'éducation, l'hygiène, la nutrition, la migration, l'agriculture et les systèmes alimentaires, l'environnement et le changement climatique », lit-on dans le document.
Selon ses experts, la santé peut être un moteur essentiel de la croissance économique pour les jeunes et les femmes d'Afrique, en tant que pointe de flèche de la transformation sociétale. Le Panel a appelé à des réformes des politiques, des systèmes et des structures réglementaires pour améliorer l'efficience, l'efficacité, la responsabilité et la réactivité aux besoins des communautés et des citoyens. «Un leadership politique est nécessaire pour donner la priorité au financement national afin de répondre aux attentes de leurs citoyens en matière de santé, tout en réorientant l'aide extérieure pour qu'elle suive les priorités et les mécanismes de l'Afrique.
Le développement de la main-d'œuvre, en particulier le développement de la formation initiale, l'optimisation du déploiement et l'exploitation de la diaspora africaine sont des domaines d'action importants. Pour se remettre sur la voie d'une véritable couverture de santé universelle, le développement des systèmes de santé primaire et hospitaliers dans les communautés doit être intégré à des systèmes de santé publique renforcés pour la prévention et la réponse aux épidémies », recommandent les experts.
Adou Faye
Lors de ses délibérations à Dakar, le panel a défini des principes clés et des domaines prioritaires pour la réalisation de ses objectifs. «Il est urgent de réorienter les systèmes de santé africains vers l'autonomie et l'autosuffisance et de développer des stratégies et des partenariats en conséquence. Se concentrer sur la prévention et la promotion de la santé publique et du bien-être des communautés, de manière intégrée, en tenant compte de l'évolution de la charge de morbidité et des facteurs déterminants, tels que l'éducation, l'hygiène, la nutrition, la migration, l'agriculture et les systèmes alimentaires, l'environnement et le changement climatique », lit-on dans le document.
Selon ses experts, la santé peut être un moteur essentiel de la croissance économique pour les jeunes et les femmes d'Afrique, en tant que pointe de flèche de la transformation sociétale. Le Panel a appelé à des réformes des politiques, des systèmes et des structures réglementaires pour améliorer l'efficience, l'efficacité, la responsabilité et la réactivité aux besoins des communautés et des citoyens. «Un leadership politique est nécessaire pour donner la priorité au financement national afin de répondre aux attentes de leurs citoyens en matière de santé, tout en réorientant l'aide extérieure pour qu'elle suive les priorités et les mécanismes de l'Afrique.
Le développement de la main-d'œuvre, en particulier le développement de la formation initiale, l'optimisation du déploiement et l'exploitation de la diaspora africaine sont des domaines d'action importants. Pour se remettre sur la voie d'une véritable couverture de santé universelle, le développement des systèmes de santé primaire et hospitaliers dans les communautés doit être intégré à des systèmes de santé publique renforcés pour la prévention et la réponse aux épidémies », recommandent les experts.
Adou Faye