Personne n’a élevé la voix, car nous avions tous voté pour les candidatures indépendantes. A qui la faute ? Il est temps qu’on arrête de se tromper.
Aujourd’hui on est à 16 voire 17 milliards pour 47 listes, tout semble être sorti du néant. C’est n’est pas vrai.
Le business électoral qui s’est installé dans ce pays avec le poste budgétaire extravagant de l’impression des bulletins et autres supports fait qu’il sera très difficile de cantonner le budget des élections dans des proportions correctes, sauf à exiger un minimum de signature par département pour chaque liste, un quitus fiscal, voire une déclaration d’impôt à tout candidat.
La coupe est pleine ! L’élection ne nourrit pas le peuple, mais certains de ses représentants et ses « courtiers », qui captent toute la manne financière pour corrompre, alors que le peuple attend, avec impatience, un appareil de radiothérapie, des aides pour faire face à une période de soudure de plus en plus longue du fait des changements climatiques, mais surtout une malnutrition qui atteint des seuils de vertige.
Cet avatar de la démocratie représentative en perte de vitesse ne doit pas induire une perte de sens du fait démocratique que constitue l’élection. Il faut arrêter ce spectacle !
Adou Faye
Aujourd’hui on est à 16 voire 17 milliards pour 47 listes, tout semble être sorti du néant. C’est n’est pas vrai.
Le business électoral qui s’est installé dans ce pays avec le poste budgétaire extravagant de l’impression des bulletins et autres supports fait qu’il sera très difficile de cantonner le budget des élections dans des proportions correctes, sauf à exiger un minimum de signature par département pour chaque liste, un quitus fiscal, voire une déclaration d’impôt à tout candidat.
La coupe est pleine ! L’élection ne nourrit pas le peuple, mais certains de ses représentants et ses « courtiers », qui captent toute la manne financière pour corrompre, alors que le peuple attend, avec impatience, un appareil de radiothérapie, des aides pour faire face à une période de soudure de plus en plus longue du fait des changements climatiques, mais surtout une malnutrition qui atteint des seuils de vertige.
Cet avatar de la démocratie représentative en perte de vitesse ne doit pas induire une perte de sens du fait démocratique que constitue l’élection. Il faut arrêter ce spectacle !
Adou Faye