« Notre continent connaît aujourd’hui des taux de croissance extraordinaires et cette année, cinq des économies qui croissent le plus vite dans le monde se trouvent en Afrique ».
« La pauvreté recule, mais le chômage constitue encore un défi surtout au niveau des jeunes ».
« L’avenir de l’Afrique est prometteur et le problème de l’insuffisance des infrastructures a toujours freiné le développement de l’Afrique » , a-t-il ajouté en marge de la cérémonie d’ouverture du sommet des chefs d’Etat du NEPAD sur le financement des infrastructures en Afrique.
Bamanga Muhamed Tukur d’indiquer que ‘’ Pour atteindre ce défi du chômage, il faudra que l’on s’arrête un peu sur la question des infrastructures dont les besoins annuels sont estimé à 33 milliards de dollars ‘’.
‘’Ces besoins des infrastructures vont au delà des banques classiques, il nous faut des demandes de financement novateur qui dépassent la seule capacité d’un seul pays donné d’où la nécessité d’adopter une dynamique partagée sur la question ‘’, a-t-il poursuivi.
‘’Le problème des infrastructures doit se mettre au cœur des préoccupations pour le développement du continent ‘’a indiqué Bamanga Muhamed Tukur, le directeur exécutif des rondes des hommes d’affaires d’Afrique.
‘’La route est exaltante mais difficile, nous devons l’emprunter avec assurance parce que le défi est immense ‘’ , a-t-il révélé.
Ndeye Maguette Kébé
« La pauvreté recule, mais le chômage constitue encore un défi surtout au niveau des jeunes ».
« L’avenir de l’Afrique est prometteur et le problème de l’insuffisance des infrastructures a toujours freiné le développement de l’Afrique » , a-t-il ajouté en marge de la cérémonie d’ouverture du sommet des chefs d’Etat du NEPAD sur le financement des infrastructures en Afrique.
Bamanga Muhamed Tukur d’indiquer que ‘’ Pour atteindre ce défi du chômage, il faudra que l’on s’arrête un peu sur la question des infrastructures dont les besoins annuels sont estimé à 33 milliards de dollars ‘’.
‘’Ces besoins des infrastructures vont au delà des banques classiques, il nous faut des demandes de financement novateur qui dépassent la seule capacité d’un seul pays donné d’où la nécessité d’adopter une dynamique partagée sur la question ‘’, a-t-il poursuivi.
‘’Le problème des infrastructures doit se mettre au cœur des préoccupations pour le développement du continent ‘’a indiqué Bamanga Muhamed Tukur, le directeur exécutif des rondes des hommes d’affaires d’Afrique.
‘’La route est exaltante mais difficile, nous devons l’emprunter avec assurance parce que le défi est immense ‘’ , a-t-il révélé.
Ndeye Maguette Kébé