Cette situation, explique-t-on, reflète les orientations défavorables des opinions des entrepreneurs de bâtiment et travaux publics et prestataires de services. Sur une base annuelle, le climat des affaires s’est, aussi, contracté de 2,5 points, en octobre 2020.
Dans l’industrie, l’insuffisance de la demande (44%), la concurrence supposée déloyale (37%), l’approvisionnement difficile en matières premières (33%) et les difficultés de recouvrement des créances (30%) ont, majoritairement, constitué les principales contraintes à l’activité. Néanmoins, le climat des affaires s’est renforcé (+1,3 point) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, sous l’effet de l’orientation positive du solde d’opinion relatif aux perspectives de production.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont l’accès difficile au crédit (75%) et au foncier (75%). Par ailleurs, le climat des affaires s’est affiché moins reluisant (-3,8 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs à l’activité générale et aux perspectives de commandes privées et d’activité.
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué les difficultés de recouvrement des créances (44%), la concurrence jugée déloyale (44%), la fiscalité (33%) et l’insuffisance de la demande (22%) comme les principales entraves à l’activité, en octobre 2020. En outre, le climat des affaires s’est détérioré (-3,0 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel. Cette situation traduit la dégradation des soldes d’opinion relatifs aux commandes et tarifs pratiqués.
S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (50%), l’insuffisance de la demande (50%), l’approvisionnement difficile en marchandises (33%) et l’accès difficile au crédit (33%) sont les contraintes à l’activité les plus évoquées par les interviewés, en octobre 2020.
Adou FAYE
Dans l’industrie, l’insuffisance de la demande (44%), la concurrence supposée déloyale (37%), l’approvisionnement difficile en matières premières (33%) et les difficultés de recouvrement des créances (30%) ont, majoritairement, constitué les principales contraintes à l’activité. Néanmoins, le climat des affaires s’est renforcé (+1,3 point) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, sous l’effet de l’orientation positive du solde d’opinion relatif aux perspectives de production.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont l’accès difficile au crédit (75%) et au foncier (75%). Par ailleurs, le climat des affaires s’est affiché moins reluisant (-3,8 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs à l’activité générale et aux perspectives de commandes privées et d’activité.
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué les difficultés de recouvrement des créances (44%), la concurrence jugée déloyale (44%), la fiscalité (33%) et l’insuffisance de la demande (22%) comme les principales entraves à l’activité, en octobre 2020. En outre, le climat des affaires s’est détérioré (-3,0 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel. Cette situation traduit la dégradation des soldes d’opinion relatifs aux commandes et tarifs pratiqués.
S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (50%), l’insuffisance de la demande (50%), l’approvisionnement difficile en marchandises (33%) et l’accès difficile au crédit (33%) sont les contraintes à l’activité les plus évoquées par les interviewés, en octobre 2020.
Adou FAYE