Il pose les premiers jalons vers la conférence de Paris en 2015, qui doit déboucher sur un texte en mesure de limiter le réchauffement à 2°C. Le texte sur l'aide financière des pays du Nord au Sud, sujet très controversé, a également été adopté durant une séance plénière.
DES "CONTRIBUTIONS", PAS D'"ENGAGEMENTS"
L'accord sur Paris 2015 a été formulé en urgence, et de manière informelle dans un coin de la salle, par les principaux négociateurs, alors qu'un blocage sur cette question menaçait de faire échouer la conférence de Varsovie.
La communauté internationale s'est engagée à conclure à Paris un accord de réduction de gaz à effet de serre entrant en vigueur en 2020, impliquant tous les pays, légalement contraignant et suffisamment ambitieux pour limiter le réchauffement climatique de la planète à 2°C par rapport à l'ère pré-industrielle. La hausse de la température actuelle est sur une trajectoire de près de 4°C. Le texte adopté à Varsovie stipule notamment que les Etats doivent commencer à préparer des "contributions" sur ce qu'ils entendent faire pour lutter contre le changement climatique, qui seront intégrées dans l'accord de 2015. Cette formulation est plus faible que celle du texte précédent, rejeté notamment par les grands émergents comme la Chine et l'Inde, qui prévoyait des «engagements", formule que souhaitait la France.
Lemonde.fr
DES "CONTRIBUTIONS", PAS D'"ENGAGEMENTS"
L'accord sur Paris 2015 a été formulé en urgence, et de manière informelle dans un coin de la salle, par les principaux négociateurs, alors qu'un blocage sur cette question menaçait de faire échouer la conférence de Varsovie.
La communauté internationale s'est engagée à conclure à Paris un accord de réduction de gaz à effet de serre entrant en vigueur en 2020, impliquant tous les pays, légalement contraignant et suffisamment ambitieux pour limiter le réchauffement climatique de la planète à 2°C par rapport à l'ère pré-industrielle. La hausse de la température actuelle est sur une trajectoire de près de 4°C. Le texte adopté à Varsovie stipule notamment que les Etats doivent commencer à préparer des "contributions" sur ce qu'ils entendent faire pour lutter contre le changement climatique, qui seront intégrées dans l'accord de 2015. Cette formulation est plus faible que celle du texte précédent, rejeté notamment par les grands émergents comme la Chine et l'Inde, qui prévoyait des «engagements", formule que souhaitait la France.
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