chroniques
‘‘Les engagements qui concernent la région de Dakar seront respectés, parce que le Sénégal est engagé depuis l’arrivée de Macky Sall au pouvoir dans un processus d’investissement continu. Les attentes de la région de Dakar sont nombreuses, au regard de sa position centrale’’, a affirmé Seydou Gueye.
Le porte-parole du gouvernement s’exprimait en marge du conseil interministériel, qui s’est tenu mardi à Rufisque, en prélude au conseil des ministres devant se tenir mercredi à Pikine (banlieue dakaroise).
‘‘La région de Dakar est la capitale économique, administrative et culturelle du Sénégal. Dakar est une région avec des réalités particulières, qui contrastent avec le reste du pays. C’est une région où se mêlent, l’urbanité et la ruralité, une capitale qui se rapproche de sa banlieue engagée dans un processus de transformation citadine’’, a relevé Seydou Gueye, signalant toutefois les ‘‘contraintes auxquelles Dakar fait face’’.
‘‘La région de Dakar connait certainement des difficultés d’urbanisation, liées à l’occupation anarchique de l’espace, au chômage des jeunes, aux problèmes d’encombrement, à la sécurité, à l’insalubrité, au déficit d’infrastructure de base, notamment dans le secteur de la santé, de l’éducation, de l’eau, de l’assainissement, de l’énergie et du transport, pour ne citer que ces principaux secteurs’’, a-t-il indiqué.
‘‘Dans le cadre de ce conseil interministériel, la région de Dakar qui s’était organisée en conséquence a présenté son document qui planifie les investissements dont la région a besoin pour construire son développement. Et dans ce document, la région de Dakar a identifié 19 contraintes(…) que nous pouvons regrouper en 4 points principaux’’, a-t-il ajouté.
Ainsi, il a listé les 4 points principaux déclinés en orientations stratégique, pour régler les problèmes de la région de Dakar.
‘‘La première orientation stratégique qui définit le profil des projets que la région de Dakar a défini porte sur le renforcement du système de protection de l’environnement et de la gestion des déchets’’, a-t-il indiqué.
‘‘La deuxième orientation porte sur l’amélioration du cadre de vie, du développement du capital humain et la valorisation du potentiel économique de la région, puisqu’il a été fortement indiqué que la région de Dakar constitue la meilleure zone maraichère du Sénégal au regard de son potentiel agricole et horticole.La troisième orientation stratégique porte sur le renforcement de la gouvernance locale’’, a-t-il ajouté.
Ces orientations ont permis selon lui d’arrêter un ‘‘coût global de financement des projets de la région de Dakar’’.
‘‘Les financements des projets de la région sont estimés à 823 milliards dont 455 milliards déjà programmés à travers le budget dans le cadre du programme triennal prioritaire 2016-2018. Les autres 268 milliards seront soumis demain à l’occasion du conseil des ministres à l’appréciation du Président de la République’’, a-t-il conclu.
Idrissa Gueye
Le porte-parole du gouvernement s’exprimait en marge du conseil interministériel, qui s’est tenu mardi à Rufisque, en prélude au conseil des ministres devant se tenir mercredi à Pikine (banlieue dakaroise).
‘‘La région de Dakar est la capitale économique, administrative et culturelle du Sénégal. Dakar est une région avec des réalités particulières, qui contrastent avec le reste du pays. C’est une région où se mêlent, l’urbanité et la ruralité, une capitale qui se rapproche de sa banlieue engagée dans un processus de transformation citadine’’, a relevé Seydou Gueye, signalant toutefois les ‘‘contraintes auxquelles Dakar fait face’’.
‘‘La région de Dakar connait certainement des difficultés d’urbanisation, liées à l’occupation anarchique de l’espace, au chômage des jeunes, aux problèmes d’encombrement, à la sécurité, à l’insalubrité, au déficit d’infrastructure de base, notamment dans le secteur de la santé, de l’éducation, de l’eau, de l’assainissement, de l’énergie et du transport, pour ne citer que ces principaux secteurs’’, a-t-il indiqué.
‘‘Dans le cadre de ce conseil interministériel, la région de Dakar qui s’était organisée en conséquence a présenté son document qui planifie les investissements dont la région a besoin pour construire son développement. Et dans ce document, la région de Dakar a identifié 19 contraintes(…) que nous pouvons regrouper en 4 points principaux’’, a-t-il ajouté.
Ainsi, il a listé les 4 points principaux déclinés en orientations stratégique, pour régler les problèmes de la région de Dakar.
‘‘La première orientation stratégique qui définit le profil des projets que la région de Dakar a défini porte sur le renforcement du système de protection de l’environnement et de la gestion des déchets’’, a-t-il indiqué.
‘‘La deuxième orientation porte sur l’amélioration du cadre de vie, du développement du capital humain et la valorisation du potentiel économique de la région, puisqu’il a été fortement indiqué que la région de Dakar constitue la meilleure zone maraichère du Sénégal au regard de son potentiel agricole et horticole.La troisième orientation stratégique porte sur le renforcement de la gouvernance locale’’, a-t-il ajouté.
Ces orientations ont permis selon lui d’arrêter un ‘‘coût global de financement des projets de la région de Dakar’’.
‘‘Les financements des projets de la région sont estimés à 823 milliards dont 455 milliards déjà programmés à travers le budget dans le cadre du programme triennal prioritaire 2016-2018. Les autres 268 milliards seront soumis demain à l’occasion du conseil des ministres à l’appréciation du Président de la République’’, a-t-il conclu.
Idrissa Gueye
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