Mme Girardin a justifié cette signature par le fait que le Sénégal est le premier partenaire de la France en Afrique. De plus, ajoute-t-elle, il y a « la présence des entreprises françaises au Sénégal et des intérêts de la France ».
La première convention a trait à la réalisation d’une ligne d’interconnexion électrique haute tension de 420 km entre Nouatchott et Tobène. « Il permettra au Sénégal de bénéficier, à un prix compétitif par rapport aux centrales thermiques existantes, de l’excédent d’énergie électrique produite en Mauritanie grâce à la valorisation des ressources en gaz découverte dans ce pays », a affirmé Mme Anne Paugam directrice générale de l’AFD.
Le coût global du projet est de 190 millions d’euro soit 125 milliards FCFA. Son financement sera assuré à hauteur de 120 millions d’euros par l’AFD via un prêt concessionnel de 40 millions d’euros au Sénégal et 80 millions d’euros à la Mauritanie, 60 millions d’euros par la Banque Islamique de développement (BID), 5,5 millions d’euros par l’Union Européenne et le solde par le Sénégal.
Selon toujours Mme Anne Paugam la deuxième convention concerne le financement du programme pour la sécurisation de l’alimentation en eau potable de Dakar pour un montant de 6,5 milliards FCFA. Ce qui favorisera l’accès à l’eau potable à 150.000 personnes. Concernant la dernière convention, elle est relative à un appui de la France à la gouvernance des institutions publiques nationales et locales pour un montant de 393 millions FCFA.
Ismaila BA
La première convention a trait à la réalisation d’une ligne d’interconnexion électrique haute tension de 420 km entre Nouatchott et Tobène. « Il permettra au Sénégal de bénéficier, à un prix compétitif par rapport aux centrales thermiques existantes, de l’excédent d’énergie électrique produite en Mauritanie grâce à la valorisation des ressources en gaz découverte dans ce pays », a affirmé Mme Anne Paugam directrice générale de l’AFD.
Le coût global du projet est de 190 millions d’euro soit 125 milliards FCFA. Son financement sera assuré à hauteur de 120 millions d’euros par l’AFD via un prêt concessionnel de 40 millions d’euros au Sénégal et 80 millions d’euros à la Mauritanie, 60 millions d’euros par la Banque Islamique de développement (BID), 5,5 millions d’euros par l’Union Européenne et le solde par le Sénégal.
Selon toujours Mme Anne Paugam la deuxième convention concerne le financement du programme pour la sécurisation de l’alimentation en eau potable de Dakar pour un montant de 6,5 milliards FCFA. Ce qui favorisera l’accès à l’eau potable à 150.000 personnes. Concernant la dernière convention, elle est relative à un appui de la France à la gouvernance des institutions publiques nationales et locales pour un montant de 393 millions FCFA.
Ismaila BA