Le CODESRIA a réussi cette démonstration par l’implication remarquable dans des réseaux de recherche, par la volonté de produire un questionnement endogène sur les dynamiques sociales, culturelles et politiques en cours sur ce continent.
Elle s’exprimait au cours de la cérémonie marquant la célébration du 40e anniversaire du Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique.
Selon elle , « Pour en attester, il suffit d’interroger les programmes de recherche sur beaucoup de questions intéressant les sociétés africaines et relatives à la gouvernance, au développement économique, au genre et à la santé, vues sous l’angle des sciences humaines et sociales ».
« Toujours à l’actif du CODESRIA, on peut retenir la production de centaines d’ouvrages de qualité et la publication de nombreuses revues reconnues au niveau international pour leur sérieux et leur qualité », a ajouté le premier ministre.
Elle indique que « l’institution de recherche a mis à la portée des décideurs africains comme des mouvements sociaux, des éléments d’appréciation bien renseignés leur permettant de faire des choix politiques éclairés par une expertise africaine de qualité ».
« Ces publications constituent une source documentaire de référence au bénéfice de nos universités et de nos écoles, en ce qu’elles mettent à leur disposition des ressources bibliographiques pertinentes par rapport à l’Afrique », poursuit-elle.
Par ailleurs, « des milliers de doctorants et de jeunes chercheurs ont pu bénéficier de bourses et de subventions du CODESRIA, pour mener à bien leurs recherches dans des universités africaines, ce qui constitue une contribution inestimable au renforcement de nos institutions d’enseignement supérieur et au renouvellement de la communauté des chercheurs africains en sciences sociales ».
« Il convient de mentionner la décision du Sénégal de soutenir le projet d’écriture de l’Histoire générale du Sénégal, qui montre bien le caractère incontournable des sciences sociales et humaines pour comprendre et transformer le monde ».
Ce projet dont le secrétariat est hébergé par le CODESRIA qui le codirige avec l’IFAN Cheikh Anta Diop, le département d’histoire de l’UCAD et la FASTEF, est initié et coordonné par le Professeur Iba Der Thiam.
Ndeye Maguette Kébé
Elle s’exprimait au cours de la cérémonie marquant la célébration du 40e anniversaire du Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique.
Selon elle , « Pour en attester, il suffit d’interroger les programmes de recherche sur beaucoup de questions intéressant les sociétés africaines et relatives à la gouvernance, au développement économique, au genre et à la santé, vues sous l’angle des sciences humaines et sociales ».
« Toujours à l’actif du CODESRIA, on peut retenir la production de centaines d’ouvrages de qualité et la publication de nombreuses revues reconnues au niveau international pour leur sérieux et leur qualité », a ajouté le premier ministre.
Elle indique que « l’institution de recherche a mis à la portée des décideurs africains comme des mouvements sociaux, des éléments d’appréciation bien renseignés leur permettant de faire des choix politiques éclairés par une expertise africaine de qualité ».
« Ces publications constituent une source documentaire de référence au bénéfice de nos universités et de nos écoles, en ce qu’elles mettent à leur disposition des ressources bibliographiques pertinentes par rapport à l’Afrique », poursuit-elle.
Par ailleurs, « des milliers de doctorants et de jeunes chercheurs ont pu bénéficier de bourses et de subventions du CODESRIA, pour mener à bien leurs recherches dans des universités africaines, ce qui constitue une contribution inestimable au renforcement de nos institutions d’enseignement supérieur et au renouvellement de la communauté des chercheurs africains en sciences sociales ».
« Il convient de mentionner la décision du Sénégal de soutenir le projet d’écriture de l’Histoire générale du Sénégal, qui montre bien le caractère incontournable des sciences sociales et humaines pour comprendre et transformer le monde ».
Ce projet dont le secrétariat est hébergé par le CODESRIA qui le codirige avec l’IFAN Cheikh Anta Diop, le département d’histoire de l’UCAD et la FASTEF, est initié et coordonné par le Professeur Iba Der Thiam.
Ndeye Maguette Kébé