Le démarrage des activités du Projet de développement inclusif et durable de l'agribusiness au Sénégal (Pdidas) s'est tenu en présence des membres du Comité régional de développement (Crd) réuni autour de l'adjoint au gouverneur, Babacar Bâ, et des représentants des populations bénéficiaires. Un programme qui contribuera à la réalisation des objectifs de la Loi agro-sylvo-pastorale (Loasp), à l'atteinte des objectifs du Programme de relance et d'accélération de la cadence de l'agriculture sénégalaise (Pracas) et du Plan Sénégal émergent (Pse).
Mme Diop a précisé que l'objectif du Pdidas, qui est entré en vigueur le 26 juin 2014, est de développer une agriculture commerciale inclusive et une gestion durable des terres dans les zones du projet, notamment dans les régions de Saint-Louis et Louga. Ce programme va aider à lever une masse critique de contraintes liées par la réalisation d'infrastructures physiques (systèmes d'irrigation et routes d'accès) ainsi qu'un appui aux institutions et au secteur privé tout au long des chaines de valeur de l'agribusiness. Selon la coordinatrice du programme, les bénéficiaires directs sont estimés à plus de 10.000 personnes, dont plus de 65 % de femmes et plus de 100 entreprises en dehors des exploitations agricoles dans les zones de la vallée de Ngalam et du Lac de Guiers. Le programme bénéficiera à 800 petits exploitants agricoles qui s'engageront dans l'agriculture commerciale, 180 agriculteurs possédant une exploitation de taille moyenne et qui pourront augmenter leur production actuelle, 9500 salariés qui travailleront dans tous les types d'activités le long de la chaine de valeur et environ 100 Pme engagées dans tous les types d'activités le long de la chaine de valeur horticole.
La composante « Appui aux acteurs du secteur », permettra d'appuyer au moins neuf collectivités locales des régions de Saint-Louis et Louga. Cela, à travers une assistance technique afin de s'assurer que les droits d'utilisation des terres sont attribués aux opérateurs privés d'une manière inclusive et durable, bénéficiant à l'ensemble de la communauté.
Les communautés locales bénéficieront d'une assistance technique dans la négociation de contrats agro-business. La composante « Développement des infrastructures d'irrigation et amélioration de la gestion des ressources naturelles », a rappelé Mme Diop Coura Mbaye, permettra, elle, de financer les infrastructures d'irrigation publique dans la vallée du Ngalam et autour du lac de Guiers.
Le Soleil /allafrica.com
Mme Diop a précisé que l'objectif du Pdidas, qui est entré en vigueur le 26 juin 2014, est de développer une agriculture commerciale inclusive et une gestion durable des terres dans les zones du projet, notamment dans les régions de Saint-Louis et Louga. Ce programme va aider à lever une masse critique de contraintes liées par la réalisation d'infrastructures physiques (systèmes d'irrigation et routes d'accès) ainsi qu'un appui aux institutions et au secteur privé tout au long des chaines de valeur de l'agribusiness. Selon la coordinatrice du programme, les bénéficiaires directs sont estimés à plus de 10.000 personnes, dont plus de 65 % de femmes et plus de 100 entreprises en dehors des exploitations agricoles dans les zones de la vallée de Ngalam et du Lac de Guiers. Le programme bénéficiera à 800 petits exploitants agricoles qui s'engageront dans l'agriculture commerciale, 180 agriculteurs possédant une exploitation de taille moyenne et qui pourront augmenter leur production actuelle, 9500 salariés qui travailleront dans tous les types d'activités le long de la chaine de valeur et environ 100 Pme engagées dans tous les types d'activités le long de la chaine de valeur horticole.
La composante « Appui aux acteurs du secteur », permettra d'appuyer au moins neuf collectivités locales des régions de Saint-Louis et Louga. Cela, à travers une assistance technique afin de s'assurer que les droits d'utilisation des terres sont attribués aux opérateurs privés d'une manière inclusive et durable, bénéficiant à l'ensemble de la communauté.
Les communautés locales bénéficieront d'une assistance technique dans la négociation de contrats agro-business. La composante « Développement des infrastructures d'irrigation et amélioration de la gestion des ressources naturelles », a rappelé Mme Diop Coura Mbaye, permettra, elle, de financer les infrastructures d'irrigation publique dans la vallée du Ngalam et autour du lac de Guiers.
Le Soleil /allafrica.com