La réunion en ligne a été ouverte par l'Ambassadeur d'Italie à Dakar, Giovanni Umberto De Vito, par le ministre conseiller pour l'énergie du président du Sénégal, Boubacar Mbodji, et par le secrétaire d’Etat italien aux Affaires étrangères et à la Coopération internationale, Manlio Di Stefano.
« En l’état actuel du niveau d’accès à l’énergie, le déficit énergétique de l'Afrique de l'Ouest ne pourra être comblé que par l'interconnexion des réseaux électriques pour une production excédentaire dans certains pays et le transfert vers d’autres dans lesquels la production est déficitaire » a déclaré le ministre conseiller Mbodji, qui a rajouté que « c’est une question économique vitale pour la production industrielle, minière et agroalimentaire. Les nouvelles centrales solaires de grande capacité devraient permettre d'atteindre cet objectif ».
Le Secrétaire d’Etat Di Stefano a souligné « le contexte favorable avec la Cop-26, co-présidée par l'Italie, actuellement en cours à Glasgow, et le sommet de la présidence italienne du G20, consacré au trinôme Personnes, Planète, Prospérité, qui vient de s’achever à Rome ». M. Di Stefano a également rappelé que « dans quelques mois, le Sénégal prendra la présidence de l'Union africaine pour 2022, ce qui permettra encore plus au pays de contribuer à façonner l'avenir du continent. L'Italie veut être aux côtés du Sénégal sur ce chemin de développement, à la fois en encourageant et en interceptant les nouvelles opportunités de partenariat qui se présentent dans un secteur innovant et structurant comme celui de l’énergie ».
Pour sa part, l'Ambassadeur De Vito, en soulignant le rôle de l'Italie en tant que grand laboratoire des technologies pour les énergies renouvelables, a mis l'accent sur le potentiel commercial et industriel lié au développement de plus en plus rapide de ce secteur, qui est encore largement intact et à la portée des nombreuses entreprises italiennes qui disposent de capacités technologiques de pointe et d'un savoir-faire extraordinaire, appréciés dans le monde entier, et qui pourront saisir ces opportunités en accompagnant leurs homologues sénégalais. C'est grâce aux partenariats entre les entreprises italiennes et sénégalaises que nous pouvons donner une continuité et réaliser concrètement les politiques de développement énergétique en cours.
L'intérêt du monde des affaires pour cette initiative a été fort, comme en témoignent les plus de 170 participants enregistrés, ainsi que les témoignages offerts par le président du Coperes, Mamadou Saliou Sow, le secrétaire général adjoint du Conseil national du patronat du Sénégal, Alioune Ba, l'Agence sénégalaise des énergies renouvelables (Aner), ainsi que les entrepreneurs italiens du même secteur qui ont activement pris part aux échanges.
Adou FAYE
« En l’état actuel du niveau d’accès à l’énergie, le déficit énergétique de l'Afrique de l'Ouest ne pourra être comblé que par l'interconnexion des réseaux électriques pour une production excédentaire dans certains pays et le transfert vers d’autres dans lesquels la production est déficitaire » a déclaré le ministre conseiller Mbodji, qui a rajouté que « c’est une question économique vitale pour la production industrielle, minière et agroalimentaire. Les nouvelles centrales solaires de grande capacité devraient permettre d'atteindre cet objectif ».
Le Secrétaire d’Etat Di Stefano a souligné « le contexte favorable avec la Cop-26, co-présidée par l'Italie, actuellement en cours à Glasgow, et le sommet de la présidence italienne du G20, consacré au trinôme Personnes, Planète, Prospérité, qui vient de s’achever à Rome ». M. Di Stefano a également rappelé que « dans quelques mois, le Sénégal prendra la présidence de l'Union africaine pour 2022, ce qui permettra encore plus au pays de contribuer à façonner l'avenir du continent. L'Italie veut être aux côtés du Sénégal sur ce chemin de développement, à la fois en encourageant et en interceptant les nouvelles opportunités de partenariat qui se présentent dans un secteur innovant et structurant comme celui de l’énergie ».
Pour sa part, l'Ambassadeur De Vito, en soulignant le rôle de l'Italie en tant que grand laboratoire des technologies pour les énergies renouvelables, a mis l'accent sur le potentiel commercial et industriel lié au développement de plus en plus rapide de ce secteur, qui est encore largement intact et à la portée des nombreuses entreprises italiennes qui disposent de capacités technologiques de pointe et d'un savoir-faire extraordinaire, appréciés dans le monde entier, et qui pourront saisir ces opportunités en accompagnant leurs homologues sénégalais. C'est grâce aux partenariats entre les entreprises italiennes et sénégalaises que nous pouvons donner une continuité et réaliser concrètement les politiques de développement énergétique en cours.
L'intérêt du monde des affaires pour cette initiative a été fort, comme en témoignent les plus de 170 participants enregistrés, ainsi que les témoignages offerts par le président du Coperes, Mamadou Saliou Sow, le secrétaire général adjoint du Conseil national du patronat du Sénégal, Alioune Ba, l'Agence sénégalaise des énergies renouvelables (Aner), ainsi que les entrepreneurs italiens du même secteur qui ont activement pris part aux échanges.
Adou FAYE