"La récente visite de la délégation gouvernementale sénégalaise en Sierra-Léone, au Liberia, en Guinée et au Ghana, dans le but d'évaluer l'impact du corridor humanitaire dans ces pays, a confirmé la justesse de la décision du président de la République d'autoriser l’ouverture dudit corridor", a-t-il dit.
Le Premier ministre procédait à l'inauguration du "Terminal H" situé à la base aérienne Andalla Cissé de Ouakam et destiné au corridor humanitaire. M. Dionne a précisé que "le Sénégal accorde une grande importance au respect des accords internationaux et à la solidarité sous-régionale avec ses moyens et au-delà avec tous les autres pays frères''.
Il a cependant exhorté tous les acteurs "à l’appropriation stricte des mesures conservatoires jusqu'à l'éradication de cette terrible maladie dans cette partie de l'Afrique et du monde. Le concept zéro Ebola doit être un objectif pour tous les acteurs du corridor humanitaire".
De son côté, le général de division, chef d'état major particulier du chef de l'Etat, Saliou Ndiaye, coordonnateur du corridor, a assuré que toutes les dispositions d'hygiène ont été prises pour garantir la sécurité sanitaire des personnels.
Il a déclaré que "l'objectif qui était visé c'était de mettre en évidence les actions qui ont été entreprises par le Sénégal dans le cadre de la solidarité humaine notamment avec l'avènement malheureux de l'épidémie à virus Ebola dans trois pays de sous-région que sont le Liberia, la Sierra-Léone et la Guinée".
Il s'agissait également "d'aménager un endroit aseptisé à partir duquel on pouvait garantir la projection d'infrastructures, de ressources humaines dans le cadre de la santé et de l'hygiène à l'endroit de ces pays’’.
Le ministre de la Santé et de l'Action sociale, Awa Marie Coll Seck, est quant à elle revenue sur les résultats obtenus à travers la réalisation de cette infrastructure.
Elle révèle qu"'il y a eu près de 167 vols, 700 tonnes de fret et 2.169 personnes qui ont eu à prendre le corridor et les partenaires trouvés dans ces pays ont confié à nos équipes que si ce corridor n'existait pas peut-être que certains pays affectés ne le seraient plus également. C'est dire l'efficacité et l'utilité de ce corridor".
Selon elle, "il y a une stabilisation et même parfois dans certains pays, une diminution du nombre de personnes infectées. Il y a eu énormément de personnes et de moyens mis à la disposition de ces différents pays".
APS
Le Premier ministre procédait à l'inauguration du "Terminal H" situé à la base aérienne Andalla Cissé de Ouakam et destiné au corridor humanitaire. M. Dionne a précisé que "le Sénégal accorde une grande importance au respect des accords internationaux et à la solidarité sous-régionale avec ses moyens et au-delà avec tous les autres pays frères''.
Il a cependant exhorté tous les acteurs "à l’appropriation stricte des mesures conservatoires jusqu'à l'éradication de cette terrible maladie dans cette partie de l'Afrique et du monde. Le concept zéro Ebola doit être un objectif pour tous les acteurs du corridor humanitaire".
De son côté, le général de division, chef d'état major particulier du chef de l'Etat, Saliou Ndiaye, coordonnateur du corridor, a assuré que toutes les dispositions d'hygiène ont été prises pour garantir la sécurité sanitaire des personnels.
Il a déclaré que "l'objectif qui était visé c'était de mettre en évidence les actions qui ont été entreprises par le Sénégal dans le cadre de la solidarité humaine notamment avec l'avènement malheureux de l'épidémie à virus Ebola dans trois pays de sous-région que sont le Liberia, la Sierra-Léone et la Guinée".
Il s'agissait également "d'aménager un endroit aseptisé à partir duquel on pouvait garantir la projection d'infrastructures, de ressources humaines dans le cadre de la santé et de l'hygiène à l'endroit de ces pays’’.
Le ministre de la Santé et de l'Action sociale, Awa Marie Coll Seck, est quant à elle revenue sur les résultats obtenus à travers la réalisation de cette infrastructure.
Elle révèle qu"'il y a eu près de 167 vols, 700 tonnes de fret et 2.169 personnes qui ont eu à prendre le corridor et les partenaires trouvés dans ces pays ont confié à nos équipes que si ce corridor n'existait pas peut-être que certains pays affectés ne le seraient plus également. C'est dire l'efficacité et l'utilité de ce corridor".
Selon elle, "il y a une stabilisation et même parfois dans certains pays, une diminution du nombre de personnes infectées. Il y a eu énormément de personnes et de moyens mis à la disposition de ces différents pays".
APS