cette occasion, le directeur des opérations de la Banque mondiale au Sénégal, Nathan Belete, l’économiste en chef de la région Afrique pour la Banque mondiale, Albert Zeufack, le vice-président du Club des investisseurs du Sénégal (Cis), Victor Ndiaye se sont prononcés sur le Projet Eter. Ce projet vise à favoriser la transformation numérique de l’économie sénégalaise pour accélérer la compétitivité́ des micros, petites et moyennes entreprises, formelles comme informelles et la création d’emplois à travers l’accès aux technologies et aux compétences, et la promotion de la compétitivité́ au niveau des filiales, appuyé́ par des partenariats public-privés et un meilleur accès au financement.
Pour Nathan Belete avec les capacités technologiques du Sénégal, le Projet Eter peut doper la croissance. Il a indiqué que ce projet implique des agences clefs comme le Fonsis, le Fongip, la Der et l’Adepme.
Albert G. Zeufack, économiste en chef de la Banque mondiale, soutient que le numérique peut être une source de création d’emplois et accroître la productivité en Afrique. « Ce livre qui se concentre sur les potentialités technologiques du Sénégal est un travail innovant. Nous espérons qu’il sera répliqué dans d’autres pays du monde », a-t-il suggéré. « Le futur du travail en Afrique sera numérique. Le futur du travail en Afrique se fera par l’utilisation massive du numérique pour accroître la croissance et la productivité », a certifié Albert G. Zeufack, économiste à la Banque mondiale.
Prenant part à la rencontre, le secrétaire général du ministère de l’Economie, du plan et de la Coopération a salué la mise en place du Projet Eter. Aliou Ndiayen prévoit une contribution de 10% du numérique dans le Pib avec le Projet Eter.
Pour Thérése Faye Diouf, administratrice du Fongip, le Projet Eter financé par la Banque mondiale pour un montant de 125 millions de dollars (62,5 milliards de FCFA) dont 25 milliards de FCfa prévus pour la garantie sur quatre ans, a été conçu pour appuyer l'opérationnalisation du Programme d'accélération de la compétitivité et de l’emploi (Page).
« Eter est un projet novateur, créé par les équipes de la Banque mondiale et celles du ministère de l’Économie, du plan et de la Coopération dans une approche pragmatique de mutualisation des programmes pour accélérer la productivité », a précisé Victor Ndiaye, vice-président du Club des investisseurs du Sénégal. Il a indiqué que l’un des handicaps du secteur informel est la faible productivité. Selon M. Ndiaye, le projet veut promouvoir la digitalisation des chaînes de production, le commerce électronique et le paiement électronique.
Adou Faye
Pour Nathan Belete avec les capacités technologiques du Sénégal, le Projet Eter peut doper la croissance. Il a indiqué que ce projet implique des agences clefs comme le Fonsis, le Fongip, la Der et l’Adepme.
Albert G. Zeufack, économiste en chef de la Banque mondiale, soutient que le numérique peut être une source de création d’emplois et accroître la productivité en Afrique. « Ce livre qui se concentre sur les potentialités technologiques du Sénégal est un travail innovant. Nous espérons qu’il sera répliqué dans d’autres pays du monde », a-t-il suggéré. « Le futur du travail en Afrique sera numérique. Le futur du travail en Afrique se fera par l’utilisation massive du numérique pour accroître la croissance et la productivité », a certifié Albert G. Zeufack, économiste à la Banque mondiale.
Prenant part à la rencontre, le secrétaire général du ministère de l’Economie, du plan et de la Coopération a salué la mise en place du Projet Eter. Aliou Ndiayen prévoit une contribution de 10% du numérique dans le Pib avec le Projet Eter.
Pour Thérése Faye Diouf, administratrice du Fongip, le Projet Eter financé par la Banque mondiale pour un montant de 125 millions de dollars (62,5 milliards de FCFA) dont 25 milliards de FCfa prévus pour la garantie sur quatre ans, a été conçu pour appuyer l'opérationnalisation du Programme d'accélération de la compétitivité et de l’emploi (Page).
« Eter est un projet novateur, créé par les équipes de la Banque mondiale et celles du ministère de l’Économie, du plan et de la Coopération dans une approche pragmatique de mutualisation des programmes pour accélérer la productivité », a précisé Victor Ndiaye, vice-président du Club des investisseurs du Sénégal. Il a indiqué que l’un des handicaps du secteur informel est la faible productivité. Selon M. Ndiaye, le projet veut promouvoir la digitalisation des chaînes de production, le commerce électronique et le paiement électronique.
Adou Faye