Lors de ce face à face avec la presse, Vincent Nmehielle, secrétaire général du Groupe de la Banque a indiqué que le thème retenu pour cette 59eme réunion annuelle du Conseil des gouverneurs de la Banque africaine de développement est : « La transformation de l'Afrique, le Groupe de la Banque africaine de développement et la réforme de l'architecture financière mondiale ».
Il a expliqué dans la foulée que ce thème a été choisi pour donner aux gouverneurs du groupe bancaire la possibilité de partager leurs expériences sur les progrès réalisés par leurs pays respectifs dans la transformation de leurs économies, les principaux obstacles rencontrés en cours de route et les principales réformes mises en œuvre pour les surmonter.
« La 59e réunion annuelle du Conseil des gouverneurs de la Banque africaine de développement et la 50e réunion du Conseil des gouverneurs du Fonds africain de développement auront lieu au Kenyatta International Conference Center à Nairobi, au Kenya, du 27 au 31 mai 2024 », a-t-il précisé notamment.
La conférence de presse a été animée par Vincent Nmehielle, secrétaire général du groupe bancaire, et Kevin Urama, économiste en chef et vice-président pour la gouvernance économique et la gestion des connaissances.
Selon M. Vincent Nmehielle, les assemblées annuelles sont l'événement le plus important du Groupe de la Banque africaine de développement réunissant environ 3 000 délégués et participants chaque année. A l’en croire, elles permettent à l'institution de faire le point, avec ses actionnaires, sur les progrès réalisés au cours de l’année écoulée.
Elles constituent, d’après la Bad, un forum unique d’échange sur des questions clés concernant le développement de l'Afrique pour les représentants des gouvernements, des entreprises, de la société civile, des groupes de réflexion, des universités et des médias.
Par ailleurs, répondant aux questions de journalistes l’accès difficile aux financements, Kevin Urama a souligné qu’effectivement, beaucoup de pays africains ont des difficultés pour accéder aux ressources financières.
L’économiste en chef et vice-président pour la gouvernance économique et la gestion des connaissances à la Bad a indiqué dans le même sillage que la cause est souvent liée aux problèmes de gouvernance, à la capacité des ressources humaines, la qualité de dette entre autres.
La question relative à la finance verte a également été soulevée, amenant M. Urama à souligner l’importance pour ces pays de mener des réformes nécessaires dans le but d’améliorer leur accès aux financements vers qui est « déjà limité ».
Bassirou MBAYE
Il a expliqué dans la foulée que ce thème a été choisi pour donner aux gouverneurs du groupe bancaire la possibilité de partager leurs expériences sur les progrès réalisés par leurs pays respectifs dans la transformation de leurs économies, les principaux obstacles rencontrés en cours de route et les principales réformes mises en œuvre pour les surmonter.
« La 59e réunion annuelle du Conseil des gouverneurs de la Banque africaine de développement et la 50e réunion du Conseil des gouverneurs du Fonds africain de développement auront lieu au Kenyatta International Conference Center à Nairobi, au Kenya, du 27 au 31 mai 2024 », a-t-il précisé notamment.
La conférence de presse a été animée par Vincent Nmehielle, secrétaire général du groupe bancaire, et Kevin Urama, économiste en chef et vice-président pour la gouvernance économique et la gestion des connaissances.
Selon M. Vincent Nmehielle, les assemblées annuelles sont l'événement le plus important du Groupe de la Banque africaine de développement réunissant environ 3 000 délégués et participants chaque année. A l’en croire, elles permettent à l'institution de faire le point, avec ses actionnaires, sur les progrès réalisés au cours de l’année écoulée.
Elles constituent, d’après la Bad, un forum unique d’échange sur des questions clés concernant le développement de l'Afrique pour les représentants des gouvernements, des entreprises, de la société civile, des groupes de réflexion, des universités et des médias.
Par ailleurs, répondant aux questions de journalistes l’accès difficile aux financements, Kevin Urama a souligné qu’effectivement, beaucoup de pays africains ont des difficultés pour accéder aux ressources financières.
L’économiste en chef et vice-président pour la gouvernance économique et la gestion des connaissances à la Bad a indiqué dans le même sillage que la cause est souvent liée aux problèmes de gouvernance, à la capacité des ressources humaines, la qualité de dette entre autres.
La question relative à la finance verte a également été soulevée, amenant M. Urama à souligner l’importance pour ces pays de mener des réformes nécessaires dans le but d’améliorer leur accès aux financements vers qui est « déjà limité ».
Bassirou MBAYE