‘’Ce taux a progressé de 1,7 point en 2012 en ressortant à 45,5% contre 43,7% en 2011, en raison de la hausse notée dans tous les secteurs’’, explique cette étude dont copie a été transmise à l’APS, mardi. En 2012, résume le document, ''la situation économique et financière des entreprises du secteur moderne a été marquée par un alourdissement des charges de personnel, un accroissement de la pression fiscale, une progression des frais financiers, ainsi qu’une dégradation de la rentabilité globale des facteurs et du taux de marge''.
Selon l’ANSD, la pression fiscale, mesurée par le ratio ‘’impôts2 sur valeur ajoutée’’ s’est accrue de 2,1 points en 201 2, du fait d’une augmentation dans les BTP (4,9 points), les services (2,8 points) et les industries (1,2 point).
L’agence souligne qu’elle est ressortie à 18,0% en 2012 contre 15,9% en 2011, expliquant que cet accroissement ‘’est lié à l’entré e en vigueur du nouveau code général des impôts avec le relèvement de l’impôt sur les sociétés de 25% à 30%’’.
‘’Elle est en moyenne de 16,7% sur la période 2006-2012’’, précise l’étude.
Au niveau sectoriel, relève le document de l’ANSD, ‘’le commerce demeure, du fait de la TVA, le secteur ayant la pression fiscale la plus élevée avec un taux de 31,2% en 2012 contre 31,7 % en 2011’’.
Il est de 11,9% contre 10,8% en 2011 pour les industries ; 19,9% contre 17,2% en 2011 pour les services et 20,9% contre 16,0% en 2011 pour les BTP’’, détaille la même source.
Elle précise que la répartition sectorielle des impôts ‘’suit celle de la valeur ajoutée avec une prédominance des services (52,3%), suivis des industries (24,7%), du commerce (15,6%) et des BTP (7,3%)’’.
Selon la même étude, ‘’le poids des frais financiers dans la valeur ajoutée globale a progressé de 0,5 point en 2012 en ressortant à 12,4% contre 11,9% en 2011’’. Il s’est amélioré de 0,9 point dans les industries, 0,7 dans les BTP, 1,4 point dans le commerce et 0,2 point dans les services.
Quant à la part des dividendes et de l’autofinancement dans la valeur ajoutée globale, elle s’est repliée de 3,2 points en s’établissant à 35,2%, contre 38,4% en 2011.
APS
Selon l’ANSD, la pression fiscale, mesurée par le ratio ‘’impôts2 sur valeur ajoutée’’ s’est accrue de 2,1 points en 201 2, du fait d’une augmentation dans les BTP (4,9 points), les services (2,8 points) et les industries (1,2 point).
L’agence souligne qu’elle est ressortie à 18,0% en 2012 contre 15,9% en 2011, expliquant que cet accroissement ‘’est lié à l’entré e en vigueur du nouveau code général des impôts avec le relèvement de l’impôt sur les sociétés de 25% à 30%’’.
‘’Elle est en moyenne de 16,7% sur la période 2006-2012’’, précise l’étude.
Au niveau sectoriel, relève le document de l’ANSD, ‘’le commerce demeure, du fait de la TVA, le secteur ayant la pression fiscale la plus élevée avec un taux de 31,2% en 2012 contre 31,7 % en 2011’’.
Il est de 11,9% contre 10,8% en 2011 pour les industries ; 19,9% contre 17,2% en 2011 pour les services et 20,9% contre 16,0% en 2011 pour les BTP’’, détaille la même source.
Elle précise que la répartition sectorielle des impôts ‘’suit celle de la valeur ajoutée avec une prédominance des services (52,3%), suivis des industries (24,7%), du commerce (15,6%) et des BTP (7,3%)’’.
Selon la même étude, ‘’le poids des frais financiers dans la valeur ajoutée globale a progressé de 0,5 point en 2012 en ressortant à 12,4% contre 11,9% en 2011’’. Il s’est amélioré de 0,9 point dans les industries, 0,7 dans les BTP, 1,4 point dans le commerce et 0,2 point dans les services.
Quant à la part des dividendes et de l’autofinancement dans la valeur ajoutée globale, elle s’est repliée de 3,2 points en s’établissant à 35,2%, contre 38,4% en 2011.
APS