Par ailleurs, souligne la Direction de la prévision et des études économiques, la plupart des enquêtés ont indiqué une baisse de la production en phase avec les carnets de commande. En outre, les stocks de produits finis ont augmenté sur la période.
Ainsi, l’activité industrielle a globalement reculé, en variation mensuelle, restant en dessous de sa moyenne de long terme. En perspectives pour le mois de mars 2018, la majorité des enquêtés ont déclaré que la production comme les carnets de commande se situeront en dessous de leurs moyennes respectives de longue période.
Dans le sous-secteur des bâtiments et travaux publics (BTP), les entrepreneurs ont désigné les difficultés de recouvrement des créances (100%), la baisse de la demande (40%), la fiscalité (40%), la concurrence supposée déloyale (40%) ainsi que l’ accès difficile au crédit (40%) et au foncier (40%) comme principales entraves à l’activité, en février 2018. Au total, l’activité du sous-secteur resterait stable sur la période, en phase avec les carnets de commandes publiques. En mars 2018, l’activité et les commandes privées sont attendues en hausse, par les chefs d’entreprises de BTP, même si elles resteraient en dessous de leurs moyennes respectives de longue période. Par contre les commandes publiques seraient à leur niveau de long terme. S’agissant des services, les prestataires ont cité les difficultés de recouvrement des créances (62%), la concurrence supposée déloyale (33%), la baisse de la demande (29%) et la fiscalité (29%) comme principales entraves à l’environnement des affaires, en février 2018. Néanmoins, la plupart des enquêtés ont révélé une bonne tenue de l’activité reflétant la progression des carnets de commande. Par ailleurs, les tarifs sont restés inchangés sur la période, selon les prestataires. En perspectives pour le mois de mars 2018, les commandes et les tarifs pratiqués resteraient stables, en dessous de leur niveau de long terme, d’après les interrogés. Au titre du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (60%), la baisse de la demande (50%), la concurrence supposée déloyale (40%) et les délestages d’électricité (20%) ont constitué les principales contraintes à l’activité durant le mois de février 2018, selon les enquêtés. En somme, ces derniers ont indiqué une baisse de leur chiffre d’affaires, en rapport avec le dégonflement des carnets de commande. S’agissant des stocks de produits finis, ils resteraient au-dessus de leur niveau moyen de long terme. En perspectives, les carnets de commande devraient fléchir, en mars 2018, selon les interrogés, pour se situer en dessous de leur niveau moyen de long terme.
Pathé TOURE
Ainsi, l’activité industrielle a globalement reculé, en variation mensuelle, restant en dessous de sa moyenne de long terme. En perspectives pour le mois de mars 2018, la majorité des enquêtés ont déclaré que la production comme les carnets de commande se situeront en dessous de leurs moyennes respectives de longue période.
Dans le sous-secteur des bâtiments et travaux publics (BTP), les entrepreneurs ont désigné les difficultés de recouvrement des créances (100%), la baisse de la demande (40%), la fiscalité (40%), la concurrence supposée déloyale (40%) ainsi que l’ accès difficile au crédit (40%) et au foncier (40%) comme principales entraves à l’activité, en février 2018. Au total, l’activité du sous-secteur resterait stable sur la période, en phase avec les carnets de commandes publiques. En mars 2018, l’activité et les commandes privées sont attendues en hausse, par les chefs d’entreprises de BTP, même si elles resteraient en dessous de leurs moyennes respectives de longue période. Par contre les commandes publiques seraient à leur niveau de long terme. S’agissant des services, les prestataires ont cité les difficultés de recouvrement des créances (62%), la concurrence supposée déloyale (33%), la baisse de la demande (29%) et la fiscalité (29%) comme principales entraves à l’environnement des affaires, en février 2018. Néanmoins, la plupart des enquêtés ont révélé une bonne tenue de l’activité reflétant la progression des carnets de commande. Par ailleurs, les tarifs sont restés inchangés sur la période, selon les prestataires. En perspectives pour le mois de mars 2018, les commandes et les tarifs pratiqués resteraient stables, en dessous de leur niveau de long terme, d’après les interrogés. Au titre du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (60%), la baisse de la demande (50%), la concurrence supposée déloyale (40%) et les délestages d’électricité (20%) ont constitué les principales contraintes à l’activité durant le mois de février 2018, selon les enquêtés. En somme, ces derniers ont indiqué une baisse de leur chiffre d’affaires, en rapport avec le dégonflement des carnets de commande. S’agissant des stocks de produits finis, ils resteraient au-dessus de leur niveau moyen de long terme. En perspectives, les carnets de commande devraient fléchir, en mars 2018, selon les interrogés, pour se situer en dessous de leur niveau moyen de long terme.
Pathé TOURE