En effet, selon la Direction de la prévision et des études économiques, les ressources et dons mobilisés à fin juin 2016 sont évaluées à 1103,2 milliards contre 965 milliards un an auparavant, soit en hausse de 14,3%. Les ressources sont composées de recettes budgétaires pour 964,3 milliards, de ressources au titre du ‘’Swap*’’ pour 40 milliards, de ressources propres du FSE pour 21,6 milliards ainsi que de dons pour un montant estimé à 77,3 milliards.
De même, la hausse des ressources est tirée, au-delà du ‘’Swap’’, par les recettes budgétaires qui ont augmenté de 10,2% sur la période. La hausse des recettes est imputable aux impôts directs, aux taxes intérieures et aux recettes sur le pétrole. En effet, au titre des impôts directs, l’impôt sur le revenu (154,4 milliards) et l’impôt sur les sociétés (151,2 milliards) se sont confortés respectivement de 15,1% et 12,3%. Au niveau des taxes intérieures, la TVA intérieure hors pétrole et la taxe sur les activités financières ont progressé respectivement de 7,5% et 11,2% pour s’établir à 122,8 milliards et 25,9 milliards.
Pour ce qui est des recettes pétrolières, elles ont bénéficié du bon niveau de recouvrement du FSIPP (69 milliards) et de la taxe spécifique sur le pétrole (35,3 milliards), avec des hausses respectives de 124,8% et 25,6% grâce, notamment, au cours favorable du baril de pétrole.
Pathé TOURE
De même, la hausse des ressources est tirée, au-delà du ‘’Swap’’, par les recettes budgétaires qui ont augmenté de 10,2% sur la période. La hausse des recettes est imputable aux impôts directs, aux taxes intérieures et aux recettes sur le pétrole. En effet, au titre des impôts directs, l’impôt sur le revenu (154,4 milliards) et l’impôt sur les sociétés (151,2 milliards) se sont confortés respectivement de 15,1% et 12,3%. Au niveau des taxes intérieures, la TVA intérieure hors pétrole et la taxe sur les activités financières ont progressé respectivement de 7,5% et 11,2% pour s’établir à 122,8 milliards et 25,9 milliards.
Pour ce qui est des recettes pétrolières, elles ont bénéficié du bon niveau de recouvrement du FSIPP (69 milliards) et de la taxe spécifique sur le pétrole (35,3 milliards), avec des hausses respectives de 124,8% et 25,6% grâce, notamment, au cours favorable du baril de pétrole.
Pathé TOURE