Gevrey-Chambertin, Le Club Med, Aigle Azur... et peut être PSA Peugeot-Citroën prochainement, la liste des investissements chinois en France va s'allonger si l'on en croit les propos du ministre de l'Economie Pierre Moscovici. Ils vont "beaucoup augmenter" a-t-il lors de l'émission "Internationales" (TV5Monde/RFI/Le Monde) ce dimanche, la veille de son déplacement lundi et mardi en Chine, au moment où débutera les consultations sur la réforme fiscale.
"Le message passé par François Hollande quand il était à Pékin et que je vais répéter, c'est que les investissements chinois en France sont bienvenus", a expliqué Pierre Moscovici. Cela "veut dire aussi que nous devons veiller à nos problèmes de souveraineté, nos intérêts stratégiques, il ne faut pas être naïf", a-t-il rappelé". Selon le ministre de l'Economie, "l'objectif final est de faire en sorte que notre déficit abyssal de 27 milliards d'euros avec la Chine se renverse. On va tout mettre à plat, on va parler de manière franche et aussi de manière amicale car l'idée est de renforcer les relations économiques franco-chinoises", a-t-il ajouté.
Invitation à venir en France
Pierre Moscovici a assuré que le gouvernement français incite "les entreprises françaises à aller en Chine, à investir directement" et invite aussi "les entreprises chinoises à venir en France". "On va parler de tout: de nos relations financières, notamment du rôle de la France dans l'internationalisation du Yuan, de nos relations industrielles, avec des partenariats industriels à nouer et également des relations commerciales", a-t-il précisé.
"C'est un voyage auquel je tiens fondamentalement, auquel les chinois tiennent fondamentalement. C'est une première et il est très important qu'en sortent des résultats de long terme", a-t-il assuré.
Latribune.fr
"Le message passé par François Hollande quand il était à Pékin et que je vais répéter, c'est que les investissements chinois en France sont bienvenus", a expliqué Pierre Moscovici. Cela "veut dire aussi que nous devons veiller à nos problèmes de souveraineté, nos intérêts stratégiques, il ne faut pas être naïf", a-t-il rappelé". Selon le ministre de l'Economie, "l'objectif final est de faire en sorte que notre déficit abyssal de 27 milliards d'euros avec la Chine se renverse. On va tout mettre à plat, on va parler de manière franche et aussi de manière amicale car l'idée est de renforcer les relations économiques franco-chinoises", a-t-il ajouté.
Invitation à venir en France
Pierre Moscovici a assuré que le gouvernement français incite "les entreprises françaises à aller en Chine, à investir directement" et invite aussi "les entreprises chinoises à venir en France". "On va parler de tout: de nos relations financières, notamment du rôle de la France dans l'internationalisation du Yuan, de nos relations industrielles, avec des partenariats industriels à nouer et également des relations commerciales", a-t-il précisé.
"C'est un voyage auquel je tiens fondamentalement, auquel les chinois tiennent fondamentalement. C'est une première et il est très important qu'en sortent des résultats de long terme", a-t-il assuré.
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