Selon un communiqué, ce rassemblement mondial a réuni plus de 600 délégués, dont plus de 150 Lps (Limited partners) – gérant collectivement plus de $1500 milliards d’actifs. Selon cette source, le deuxième jour de la conférence, connu sous le nom de « Journée des Lps de l’Avca », a couvert un large éventail de sujets clés qui animeront l’industrie en 2018 et au-delà, comme le financement des investissements marocains, l’expansion régionale, les
investissements d’impact, les stratégies de sortie, l’Esg, l’écosystème florissant du capital-risque en Afrique, et l’évolution du rôle des institutions de financement du développement sur le continent. Les Lps cherchent à maintenir ou augmenter leur allocation dans le capital-investissement Africain et y décèlent de belles opportunités.
Ils considèrent que le continent africain sera le plus attrayant des marchés émergents pour les investissements en PrivateEquity au cours des dix prochaines années. Alors que l’appétit pour les rendements continue d’augmenter, « l’Afrique a des marchés de consommation
émergents et c’est une raison d’y investir ». Mais diverses forces poussent les investissements au-delà de la consommation africaine, « il faut saisir les dimensions démographiques et politiques » et « essayer de concevoir les tendances de la prochaine décennie. C’est
pour cela que nous sommes en Afrique. », révèle Antony Barker, ancien directeur des pensions et Chief investment officer chez Santander UK.
En soulignant l’activité croissante des family offices dans la région, Christophe Karvelis, co-fondateur et directeur général chez Capzanine a noté que « les family offices prennent plus de risques que les investisseurs institutionnels et ont davantage tendance à rechercher
des rendements plus élevés sur le continent ». Dan Kranzler, associé senior chez Capria Ventures estime que « les opportunités de capital-risque en Afrique sont claires. Il existe des opportunités pour la technologie, pour la croissance, et pour d’invasion disruptive
».
Mariama Diallo
investissements d’impact, les stratégies de sortie, l’Esg, l’écosystème florissant du capital-risque en Afrique, et l’évolution du rôle des institutions de financement du développement sur le continent. Les Lps cherchent à maintenir ou augmenter leur allocation dans le capital-investissement Africain et y décèlent de belles opportunités.
Ils considèrent que le continent africain sera le plus attrayant des marchés émergents pour les investissements en PrivateEquity au cours des dix prochaines années. Alors que l’appétit pour les rendements continue d’augmenter, « l’Afrique a des marchés de consommation
émergents et c’est une raison d’y investir ». Mais diverses forces poussent les investissements au-delà de la consommation africaine, « il faut saisir les dimensions démographiques et politiques » et « essayer de concevoir les tendances de la prochaine décennie. C’est
pour cela que nous sommes en Afrique. », révèle Antony Barker, ancien directeur des pensions et Chief investment officer chez Santander UK.
En soulignant l’activité croissante des family offices dans la région, Christophe Karvelis, co-fondateur et directeur général chez Capzanine a noté que « les family offices prennent plus de risques que les investisseurs institutionnels et ont davantage tendance à rechercher
des rendements plus élevés sur le continent ». Dan Kranzler, associé senior chez Capria Ventures estime que « les opportunités de capital-risque en Afrique sont claires. Il existe des opportunités pour la technologie, pour la croissance, et pour d’invasion disruptive
».
Mariama Diallo