« Au nombre des composantes qui le constituent, il convient de souligner la composante qui vise à renforcer les capacités des deux Centres d’Excellence Africains (CEA) sélectionnés de façon concurrentielle », note le ministre. Selon lui, ces centres fourniront une formation de qualité collant à la demande et des travaux de recherche appliquée en partenariat avec des établissements universitaires régionaux et internationaux et le monde industriel et celle constituée d’activités régionales destinées à renforcer les capacités, à appuyer la mise en œuvre du projet, à assurer le suivi et évaluation et à développer les politiques régionales.
« Mieux, ajoute Amadou Bâ, la deuxième composante donnera, de façon axée sur la demande, une impulsion à la collaboration régionale en aidant la République sœur de Gambie à renforcer ses établissements d’enseignement supérieur ».
Pour l’atteinte des résultats escomptés, la Banque Mondiale, à travers l’IDA, a mis à la disposition du Sénégal un crédit d’un montant de seize millions (16 000 000) millions de dollars des Etats Unis d’Amérique, soit 8 000 000 de dollars US pour chacune des deux universités sénégalaises (UCAD et Gaston Berger).
De l’avis du ministre, l’importance du financement ainsi prévu pour ce projet d’une durée de quatre ans, se justifie par les nombreuses attentes du Sénégal dans le secteur de l’Enseignement Supérieur.
El Hadj Diakhaté
« Mieux, ajoute Amadou Bâ, la deuxième composante donnera, de façon axée sur la demande, une impulsion à la collaboration régionale en aidant la République sœur de Gambie à renforcer ses établissements d’enseignement supérieur ».
Pour l’atteinte des résultats escomptés, la Banque Mondiale, à travers l’IDA, a mis à la disposition du Sénégal un crédit d’un montant de seize millions (16 000 000) millions de dollars des Etats Unis d’Amérique, soit 8 000 000 de dollars US pour chacune des deux universités sénégalaises (UCAD et Gaston Berger).
De l’avis du ministre, l’importance du financement ainsi prévu pour ce projet d’une durée de quatre ans, se justifie par les nombreuses attentes du Sénégal dans le secteur de l’Enseignement Supérieur.
El Hadj Diakhaté