Selon la Bceao, les mobilisations ont été effectuées sous divers instruments, notamment les investissements directs étrangers (Ide, 1.783,1 milliards contre 1.406,5 milliards), les investissements de portefeuille (528,3 milliards contre 562,2 milliards) et les autres investissements (960,6 milliards contre -107,9 milliards).
En particulier, la bonne tenue des financements au titre des autres investissements est liée aux mobilisations de l’Etat, sous forme de tirages sur des prêts adossés à des projets et programmes, et du secteur privé, à travers des prêts bancaires et le recours à des crédits commerciaux.
S’agissant des Ide, la consolidation observée par rapport à l’année précédente est imputable à l’augmentation des Ide sous forme d’instruments de dette (1.550,4 milliards contre 1.199,3 milliards) observée notamment dans le cadre du financement des projets d’hydrocarbures. Des investissements directs sont également notés dans les secteurs bancaire et hôtelier ainsi que dans les industries minières.
En ce qui concerne les investissements de portefeuille, une légère baisse des mobilisations a été enregistrée en 2022, en relation avec l’évolution des emprunts obligataires de l’Etat sur le marché financier sous-régional (273,8 contre 565,9 milliards). Il convient néanmoins de souligner que des entreprises privées ont levé sur le marché obligataire sous-régional, un montant de 261,5 milliards pour le financement de projets de développement.
Adou Faye
En particulier, la bonne tenue des financements au titre des autres investissements est liée aux mobilisations de l’Etat, sous forme de tirages sur des prêts adossés à des projets et programmes, et du secteur privé, à travers des prêts bancaires et le recours à des crédits commerciaux.
S’agissant des Ide, la consolidation observée par rapport à l’année précédente est imputable à l’augmentation des Ide sous forme d’instruments de dette (1.550,4 milliards contre 1.199,3 milliards) observée notamment dans le cadre du financement des projets d’hydrocarbures. Des investissements directs sont également notés dans les secteurs bancaire et hôtelier ainsi que dans les industries minières.
En ce qui concerne les investissements de portefeuille, une légère baisse des mobilisations a été enregistrée en 2022, en relation avec l’évolution des emprunts obligataires de l’Etat sur le marché financier sous-régional (273,8 contre 565,9 milliards). Il convient néanmoins de souligner que des entreprises privées ont levé sur le marché obligataire sous-régional, un montant de 261,5 milliards pour le financement de projets de développement.
Adou Faye