"J’attends de mes collaborateurs et plus généralement de tous ceux qui participent à la gestion des ressources publiques, un comportement irréprochable et à la hauteur des aspirations et attentes des Sénégalais", a déclaré M. Sall, mercredi à Dakar, lors de la rentrée solennelle des cours et tribunaux.
Il a répondu à une interpellation du bâtonnier de l’Ordre des avocats du Sénégal, Me Ameth Bâ. "Aucun effort ne sera ménagé dans ce combat pour l’éthique et la bonne gouvernance et qu’aucun écart ne sera toléré", a assuré le chef de l'Etat.
"Notre volonté politique à cet égard est sans faille", a-t-il soutenu, indiquant qu'"aujourd’hui, (...) la justice de notre pays est saisie de poursuites pour détournement de deniers publics, escroquerie portant sur les deniers publics, enrichissement illicite, blanchiment d’argent, etc.".
M. Sall a toutefois souligné que "le traitement judiciaire de la délinquance économique et financière est un sujet qui exprime bien (son) engagement sans faille pour une gestion saine, sobre, rationnelle et efficiente des ressources publiques au profit de tout le peuple sénégalais".
"C’est dans cette dynamique que nous nous sommes inscrits et la voie du développement dans laquelle nous nous sommes engagés ne peut souffrir de la part des acteurs publics comme privés, de comportements de prédation de nos ressources si limitées", a-t-il poursuivi.
Pour le président de la République, "la lutte contre le fléau de la corruption et son corollaire, l’enrichissement illicite, la lutte contre le blanchiment de l’argent sale, contre le financement du terrorisme, en somme contre la délinquance économique et financière, est une exigence du peuple sénégalais".
Il a rappelé en outre les engagements internationaux et la pratique commune dans la lutte contre la corruption et la criminalité économique et financière, soulignant leur "sophistication croissante" avec l'essor de l'internet et des nouvelles technologies de l'information et de la communication.
"Au Sénégal, déjà au début de l’année judiciaire 1999-2000, la rentrée solennelle des cours et tribunaux s’était intéressée à la prévention juridique et au traitement judiciaire de la corruption", a insisté le président Macky Sall.
"Le juge ayant introduit le thème avait, à l’époque, proposé comme solutions pour éradiquer le mal, la réduction des opportunités de corruption et l’augmentation des risques d’arrestation."
APS
Il a répondu à une interpellation du bâtonnier de l’Ordre des avocats du Sénégal, Me Ameth Bâ. "Aucun effort ne sera ménagé dans ce combat pour l’éthique et la bonne gouvernance et qu’aucun écart ne sera toléré", a assuré le chef de l'Etat.
"Notre volonté politique à cet égard est sans faille", a-t-il soutenu, indiquant qu'"aujourd’hui, (...) la justice de notre pays est saisie de poursuites pour détournement de deniers publics, escroquerie portant sur les deniers publics, enrichissement illicite, blanchiment d’argent, etc.".
M. Sall a toutefois souligné que "le traitement judiciaire de la délinquance économique et financière est un sujet qui exprime bien (son) engagement sans faille pour une gestion saine, sobre, rationnelle et efficiente des ressources publiques au profit de tout le peuple sénégalais".
"C’est dans cette dynamique que nous nous sommes inscrits et la voie du développement dans laquelle nous nous sommes engagés ne peut souffrir de la part des acteurs publics comme privés, de comportements de prédation de nos ressources si limitées", a-t-il poursuivi.
Pour le président de la République, "la lutte contre le fléau de la corruption et son corollaire, l’enrichissement illicite, la lutte contre le blanchiment de l’argent sale, contre le financement du terrorisme, en somme contre la délinquance économique et financière, est une exigence du peuple sénégalais".
Il a rappelé en outre les engagements internationaux et la pratique commune dans la lutte contre la corruption et la criminalité économique et financière, soulignant leur "sophistication croissante" avec l'essor de l'internet et des nouvelles technologies de l'information et de la communication.
"Au Sénégal, déjà au début de l’année judiciaire 1999-2000, la rentrée solennelle des cours et tribunaux s’était intéressée à la prévention juridique et au traitement judiciaire de la corruption", a insisté le président Macky Sall.
"Le juge ayant introduit le thème avait, à l’époque, proposé comme solutions pour éradiquer le mal, la réduction des opportunités de corruption et l’augmentation des risques d’arrestation."
APS