Selon un communiqué de presse, cette activité, menée avec l’appui de l’Initiative Villes vertes, mise en œuvre par la Fao au Sénégal en partenariat avec la Direction des eaux et forêts, chasses et de la conservation des sols, était l’occasion de sensibiliser les élèves à l’importance de la forêt dans la vie des êtres humains et des animaux.
Scindés en petits groupes, ajoute la même source, ces écoliers membres du Club des amis de la Fcm, ont pu s’exercer dans l’identification des espèces trouvées dans l’arboretum, par leurs noms scientifiques ou leurs noms vernaculaires (wolof), et des différentes zones éco géographiques de provenance au Sénégal. Ils ont aussi été informés sur certains enjeux liés à la préservation de la forêt et de ses ressources.
«Tout le gaz carbonique émis par les véhicules et autres polluants sont séquestrés dans la forêt qui le transforme en oxygène vital à l’homme. C’est une fonction très importante d’absorption de dioxyde de carbone (CO2) et de libération d’oxygène que joue l’arbre et qui n’est pas visible, sans compter l’aspect culturel dans notre rapport à l’arbre», leur a expliqué le Colonel Sidiki Diombana Diop, Coordonnateur du Projet d’aménagement de la forêt classée de Mbao (Pafcm). «Cette sortie est très bénéfique pour nous. Nous avons vu plusieurs plantes que nous ne connaissions pas. Nous comprenons mieux le rôle que joue la forêt classée dans une ville polluée comme Dakar qui a beaucoup de voitures et d’usines qui dégagent le dioxyde de carbone (CO2) absorbé par cette forêt» se sont réjouis Cheikh Diouf et Mama Ndiaye, élèves en classe de seconde (2 nde).
Cette sortie pédagogique entre dans le cadre des enseignements-apprentissages des établissements scolaires des élèves visiteurs. Et Thierno Hamidou Ndiaye, directeur des études d’une de ces écoles, d’expliquer: «Après les cours théoriques en classe, notamment en Sciences de la vie et de le terre (Svt), nous leur montrons de visu sur le terrain ce qu’ils apprennent pour qu’ils comprennent l’utilité des plantes, de la photosynthèse, de la préservation de l’environnement et de notre cadre de vie. Ils sont aussi de bons relais auprès de leurs parents».
Située dans la région de Dakar, la Forêt classée de Mbao couvre une superficie de 722 hectares. De forêt péri-urbaine, elle est devenue progressivement une forêt urbaine où sont menées des activités d’agriculture, d’élevage et d’apiculture. L’objectif de gestion de la forêt est aussi passé progressivement de la conservation pure et dure à la valorisation du potentiel forestier à travers un aménagement participatif. Un objectif qui cadre avec les objectifs de l’Initiative Villes vertes de la Fao. Cette initiative vise, en partie, à améliorer l’environnement urbain et la biodiversité mais aussi à contribuer à l’adaptation au changement climatique et à la gestion durable des ressources.
Pour la FAO, il est donc essentiel que les villes disposent de systèmes agroalimentaires durables dans lesquels des espaces verts sont consacrés aux activités agricoles et forestières urbaines et périurbaines, afin de les rendre plus résilientes face aux effets du changement climatique et aux crises socioéconomiques. «L’initiative et le plan d’action Villes vertes vise à susciter la prise de mesures porteuses de transformation qui rendront les villes plus vertes, plus propres, plus résilientes et plus aptes à se régénérer.
La réussite de l’initiative Villes vertes dépend de la participation active des parties prenantes à divers partenariats de grande ampleur et surtout d’une prise de conscience environnementale de la frange jeune de la population», souligne Gouantoueu Robert Guei, Coordinateur sous-régional de la Fao en Afrique de l’Ouest et Représentant de la Fao au Sénégal.
Adou FAYE
Scindés en petits groupes, ajoute la même source, ces écoliers membres du Club des amis de la Fcm, ont pu s’exercer dans l’identification des espèces trouvées dans l’arboretum, par leurs noms scientifiques ou leurs noms vernaculaires (wolof), et des différentes zones éco géographiques de provenance au Sénégal. Ils ont aussi été informés sur certains enjeux liés à la préservation de la forêt et de ses ressources.
«Tout le gaz carbonique émis par les véhicules et autres polluants sont séquestrés dans la forêt qui le transforme en oxygène vital à l’homme. C’est une fonction très importante d’absorption de dioxyde de carbone (CO2) et de libération d’oxygène que joue l’arbre et qui n’est pas visible, sans compter l’aspect culturel dans notre rapport à l’arbre», leur a expliqué le Colonel Sidiki Diombana Diop, Coordonnateur du Projet d’aménagement de la forêt classée de Mbao (Pafcm). «Cette sortie est très bénéfique pour nous. Nous avons vu plusieurs plantes que nous ne connaissions pas. Nous comprenons mieux le rôle que joue la forêt classée dans une ville polluée comme Dakar qui a beaucoup de voitures et d’usines qui dégagent le dioxyde de carbone (CO2) absorbé par cette forêt» se sont réjouis Cheikh Diouf et Mama Ndiaye, élèves en classe de seconde (2 nde).
Cette sortie pédagogique entre dans le cadre des enseignements-apprentissages des établissements scolaires des élèves visiteurs. Et Thierno Hamidou Ndiaye, directeur des études d’une de ces écoles, d’expliquer: «Après les cours théoriques en classe, notamment en Sciences de la vie et de le terre (Svt), nous leur montrons de visu sur le terrain ce qu’ils apprennent pour qu’ils comprennent l’utilité des plantes, de la photosynthèse, de la préservation de l’environnement et de notre cadre de vie. Ils sont aussi de bons relais auprès de leurs parents».
Située dans la région de Dakar, la Forêt classée de Mbao couvre une superficie de 722 hectares. De forêt péri-urbaine, elle est devenue progressivement une forêt urbaine où sont menées des activités d’agriculture, d’élevage et d’apiculture. L’objectif de gestion de la forêt est aussi passé progressivement de la conservation pure et dure à la valorisation du potentiel forestier à travers un aménagement participatif. Un objectif qui cadre avec les objectifs de l’Initiative Villes vertes de la Fao. Cette initiative vise, en partie, à améliorer l’environnement urbain et la biodiversité mais aussi à contribuer à l’adaptation au changement climatique et à la gestion durable des ressources.
Pour la FAO, il est donc essentiel que les villes disposent de systèmes agroalimentaires durables dans lesquels des espaces verts sont consacrés aux activités agricoles et forestières urbaines et périurbaines, afin de les rendre plus résilientes face aux effets du changement climatique et aux crises socioéconomiques. «L’initiative et le plan d’action Villes vertes vise à susciter la prise de mesures porteuses de transformation qui rendront les villes plus vertes, plus propres, plus résilientes et plus aptes à se régénérer.
La réussite de l’initiative Villes vertes dépend de la participation active des parties prenantes à divers partenariats de grande ampleur et surtout d’une prise de conscience environnementale de la frange jeune de la population», souligne Gouantoueu Robert Guei, Coordinateur sous-régional de la Fao en Afrique de l’Ouest et Représentant de la Fao au Sénégal.
Adou FAYE