Selon le document , ce Forum qui est organisé par ACORD, porte-parole d’un grand nombre d’OSC africaines dans ce cadre, est une occasion unique de comprendre cette Position Commune, en échangeant avec ceux qui ont été responsables de sa définition, de contribuer à lui donner corps et à l’améliorer tant qu’il en est encore temps, de s’assurer qu’elle répond aux besoins de tous et surtout de ceux qu’elle impactera en premier lieu, et enfin de faire le parallèle et le lien avec l’Agenda 2063 de l’Union africaine.
Le communiqué informe aussi que suite au rapport du Secrétaire des Nations Unies sur l’agenda post-2015 publié en mai 2013, la Commission de l’Union africaine a été chargée de préciser une Position Commune de l’Afrique, avec 10 Etats-membres coordonnant le travail de l’Union. Suite à des consultations variées, sur plusieurs mois, avec des représentants des gouvernements, du secteur privé, des institutions régionales, des Nations Unies…les équipes techniques des 10 Etats-membres ont développé un document de travail complet servant de base à une Position Commune de l’Afrique (PCA), qui a été approuvé par l’Union africaine le 31 Janvier 2014.
Malgré les nombreuses consultations et processus politiques à large échelle dans de nombreux pays, en Afrique et dans le monde, il existe toujours un risque, comme ce fut le cas pour les OMD, que la définition du cadre successeur reste l’apanage des espaces politiques de haut niveau, et ne prenne pas suffisamment en compte les voix et opinions des citoyens à la base, pourtant les plus concernés par les décisions prises pour ce nouveau cadre.
ACORD a et continue de jouer, depuis 2012, un rôle phare pour influencer l’agenda post-2015 par la transmission de ces voix citoyennes, au travers de plusieurs actions comme la coordination de la position de la société civile africaine, la tenue de consultations dans 13 pays africains auprès de plus de 4,500 citoyens et de nombreuses communautés et la création d’un espace réel pour la société civile dans les négociations de haut niveau.
ACORD et ses partenaires de la société civile africaine saluent une PCA ambitieuse qui s’engage, entre autres importantes avancées, à une éradication complète de la pauvreté et des violences faites aux femmes en particulier, et réaffirme les droits humains comme droits universels pour tous, mais se désolent de constater (et ce malgré un plaidoyer préalable des OSC africaines) que cette Position a été développée sans le concours pourtant si essentiel de la société civile africaine, et donc des citoyens eux-mêmes, dans les équipes techniques.
Le Forum verra, entre autres, la participation de représentants de haut niveau de gouvernements africains, des directeurs d’OSC africaines et internationales, des Ambassadeurs, des chercheurs, des membres du Conseil d’Administration d’ACORD.
Ndeye Maguette Kébé
Le communiqué informe aussi que suite au rapport du Secrétaire des Nations Unies sur l’agenda post-2015 publié en mai 2013, la Commission de l’Union africaine a été chargée de préciser une Position Commune de l’Afrique, avec 10 Etats-membres coordonnant le travail de l’Union. Suite à des consultations variées, sur plusieurs mois, avec des représentants des gouvernements, du secteur privé, des institutions régionales, des Nations Unies…les équipes techniques des 10 Etats-membres ont développé un document de travail complet servant de base à une Position Commune de l’Afrique (PCA), qui a été approuvé par l’Union africaine le 31 Janvier 2014.
Malgré les nombreuses consultations et processus politiques à large échelle dans de nombreux pays, en Afrique et dans le monde, il existe toujours un risque, comme ce fut le cas pour les OMD, que la définition du cadre successeur reste l’apanage des espaces politiques de haut niveau, et ne prenne pas suffisamment en compte les voix et opinions des citoyens à la base, pourtant les plus concernés par les décisions prises pour ce nouveau cadre.
ACORD a et continue de jouer, depuis 2012, un rôle phare pour influencer l’agenda post-2015 par la transmission de ces voix citoyennes, au travers de plusieurs actions comme la coordination de la position de la société civile africaine, la tenue de consultations dans 13 pays africains auprès de plus de 4,500 citoyens et de nombreuses communautés et la création d’un espace réel pour la société civile dans les négociations de haut niveau.
ACORD et ses partenaires de la société civile africaine saluent une PCA ambitieuse qui s’engage, entre autres importantes avancées, à une éradication complète de la pauvreté et des violences faites aux femmes en particulier, et réaffirme les droits humains comme droits universels pour tous, mais se désolent de constater (et ce malgré un plaidoyer préalable des OSC africaines) que cette Position a été développée sans le concours pourtant si essentiel de la société civile africaine, et donc des citoyens eux-mêmes, dans les équipes techniques.
Le Forum verra, entre autres, la participation de représentants de haut niveau de gouvernements africains, des directeurs d’OSC africaines et internationales, des Ambassadeurs, des chercheurs, des membres du Conseil d’Administration d’ACORD.
Ndeye Maguette Kébé