France Business School cible deux axes de développement : la Chine et l’Afrique

« Au cœur de notre dynamisme pédagogique, nous voulons exposer nos étudiants aux différentes cultures et systèmes de valeurs qui construiront l’avenir. En terme de modèles managériaux, la Chine interpelle, en terme de vitalité économique et de vivier de jeunes entrepreneurs, l’Afrique est le continent de demain », affirme Patrick Molle, directeur général de France Business School. « L’éducation est un métier de long terme. Parce que dans 30 ans, le chinois sera sans doute la première langue parlée au monde, nous semons aujourd’hui auprès de nos étudiants les bases pour qu’ils puissent être demain des leaders entrepreneurs au cœur de l’influence économique mondiale » poursuit-il.
La première étape du projet concerne l’ouverture d’un campus chinois de la Beijing City University (BCU), première université privée chinoise (23 000 étudiants) sur le campus de France Business School de Tours. « Ce campus choisi pour son emplacement central au cœur de la France, à proximité de Paris, et chargé d’histoire, présente une position stratégique pour développer le premier campus chinois de France et même d'Europe »révèle Patrick Molle. Puis, réciproquement, un campus français s’ouvrira sur celui de la Beijing City University.
Dans un second temps, le groupe marocain HECI, partie prenante de l’Université Internationale de Dakar, présent dans 7 pays d’Afrique avec 18 campus, entrera dans la danse pour participer, avec ses partenaires français et chinois, à l’ouverture du premier Institut tricontinental Sino-Franco-Africain à Poitiers. « L’Afrique, continent de demain et de la jeunesse, et la Chine, pays au potentiel de développement économique incommensurable apparaissent pour nous comme LA priorité majeure à l’international pour les trois prochaines années. » déclare Patrick Molle.
Ecofin