Appréciations du plan Sénégal émergent
Après avoir suivi les présentations et les discussions, on a senti qu’il y a une philosophie qui émerge. J’ai été impressionné par le leadership du président Macky Sall. Il a une vision extrêmement claire. La maîtrise des dossiers par les ministres et les techniciens du ministère de l’économie et des finances transparait dans les présentations. J’ai assiste à plusieurs groupe consultatif dans ma vie et je dois dire que j’ai été fortement impressionné par la teneur de la présentation sénégalaise. La présence massive de partenaires extérieures est un vote de confiance à mon avis très fort et une adhésion à la politique et à la vision du Sénégal. Donc, si je devrais noter ce groupe consultatif par rapport à d’autres, je dirai AAA.
Capacité du plan a attiré les investissements du secteur privé
Absolument ! Le Sénégal a ce qu’on appelle un coefficient d’attractivité extrêmement élevé. Sa position géographique, la qualité de ses ressources humaines, la qualité de ses politiques, la vision stratégique du président sont autant de facteurs qui attirent les partenaires extérieurs. Et c’est un plan qui fait un saut qualitatif d’abord avec la croissance. D’un plateau moyen de croissance de 3 à 4%, on veut monter à 7 et 8%. C’est un effort massif qu’on demande. Ce qu’il va falloir faire, c’est exécuté. La conception est excellente maintenant, c’est dans l’exécution qu’il va falloir travailler pour s’assurer que les ressources qui seront mises à la disposition du Sénégal seront absorbées à grande hauteur et que la qualité des politiques d’accompagnement soient de mise.
Levier sur lequel il faut insister pour que l’absorption des fonds se fasse rapidement
Je pense que là où on pèche en général, et c’est valable pour l’ensemble des pays en développement, c’est d’abord l’absorption des ressources et la démonstration rapide des résultats. Très souvent les ressources ont été mises en place mais on met du temps à démontrer les résultats. Il faut d’abord gagner la confiance des bailleurs de fonds, avec des résultats rapides mais surtout la confiance des populations. Sinon, on va créer des attentes qui peuvent si on ne les réalise pas très vite avoir des effets de retour pas très positifs. Je pense qu’il faut accélérer la cadence et montrer rapidement des résultats dans l’exécution de ces programmes.
Nouvel Horizon
Après avoir suivi les présentations et les discussions, on a senti qu’il y a une philosophie qui émerge. J’ai été impressionné par le leadership du président Macky Sall. Il a une vision extrêmement claire. La maîtrise des dossiers par les ministres et les techniciens du ministère de l’économie et des finances transparait dans les présentations. J’ai assiste à plusieurs groupe consultatif dans ma vie et je dois dire que j’ai été fortement impressionné par la teneur de la présentation sénégalaise. La présence massive de partenaires extérieures est un vote de confiance à mon avis très fort et une adhésion à la politique et à la vision du Sénégal. Donc, si je devrais noter ce groupe consultatif par rapport à d’autres, je dirai AAA.
Capacité du plan a attiré les investissements du secteur privé
Absolument ! Le Sénégal a ce qu’on appelle un coefficient d’attractivité extrêmement élevé. Sa position géographique, la qualité de ses ressources humaines, la qualité de ses politiques, la vision stratégique du président sont autant de facteurs qui attirent les partenaires extérieurs. Et c’est un plan qui fait un saut qualitatif d’abord avec la croissance. D’un plateau moyen de croissance de 3 à 4%, on veut monter à 7 et 8%. C’est un effort massif qu’on demande. Ce qu’il va falloir faire, c’est exécuté. La conception est excellente maintenant, c’est dans l’exécution qu’il va falloir travailler pour s’assurer que les ressources qui seront mises à la disposition du Sénégal seront absorbées à grande hauteur et que la qualité des politiques d’accompagnement soient de mise.
Levier sur lequel il faut insister pour que l’absorption des fonds se fasse rapidement
Je pense que là où on pèche en général, et c’est valable pour l’ensemble des pays en développement, c’est d’abord l’absorption des ressources et la démonstration rapide des résultats. Très souvent les ressources ont été mises en place mais on met du temps à démontrer les résultats. Il faut d’abord gagner la confiance des bailleurs de fonds, avec des résultats rapides mais surtout la confiance des populations. Sinon, on va créer des attentes qui peuvent si on ne les réalise pas très vite avoir des effets de retour pas très positifs. Je pense qu’il faut accélérer la cadence et montrer rapidement des résultats dans l’exécution de ces programmes.
Nouvel Horizon