Pierre Antoine Gailly, Président de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris Ile-de-France (CCIP)
La Chambre de commerce et d’industrie de Paris Ile-de-France (CCIP) mène de nombreuses actions pour inciter les entreprises françaises à investir au Sénégal,
Selon le président de la CCIP, il y a plus de 250 entreprises implantées au Sénégal allant des entreprises du CAC 40 aux PME. « Cependant, avance-t-il, la présence du secteur privé français est loin d’avoir atteint toutes ses potentialités ».
Selon lui, la France et le Sénégal entretiennent des relations bilatérales privilégiées. C’est ainsi qu’en 2011, ce pays était le premier fournisseur du Sénégal, son 2ème client européen et son 4èmeclient mondial. La France demeure également, selon M. Gailly, le premier investisseur au Sénégal avec un stock d’investissement direct étranger de près de 800 millions d’euros soit environ 524,765 milliards FCFA.
Compte tenu de ces facteurs, il a demandé aux entreprises françaises d’investir au Sénégal car plusieurs domaines porteurs du marché sénégalais correspondent à l’offre et la spécificité des entreprises françaises. Il a évoqué en particulier le secteur des mines, de l’énergie, des infrastructures, de l’agriculture, de l’eau et de l’assainissement. Cette liste n’est pas exhaustive, estime-t-il, ajoutant le tourisme et l’éducation.
M. Gailly a salué l’impulsion politique d’un décollage économique du Sénégal qui s’inscrit dans une dynamique d’ensemble du continent africain.
El Hadj Diakhaté, envoyé spécial à Paris
Selon le président de la CCIP, il y a plus de 250 entreprises implantées au Sénégal allant des entreprises du CAC 40 aux PME. « Cependant, avance-t-il, la présence du secteur privé français est loin d’avoir atteint toutes ses potentialités ».
Selon lui, la France et le Sénégal entretiennent des relations bilatérales privilégiées. C’est ainsi qu’en 2011, ce pays était le premier fournisseur du Sénégal, son 2ème client européen et son 4èmeclient mondial. La France demeure également, selon M. Gailly, le premier investisseur au Sénégal avec un stock d’investissement direct étranger de près de 800 millions d’euros soit environ 524,765 milliards FCFA.
Compte tenu de ces facteurs, il a demandé aux entreprises françaises d’investir au Sénégal car plusieurs domaines porteurs du marché sénégalais correspondent à l’offre et la spécificité des entreprises françaises. Il a évoqué en particulier le secteur des mines, de l’énergie, des infrastructures, de l’agriculture, de l’eau et de l’assainissement. Cette liste n’est pas exhaustive, estime-t-il, ajoutant le tourisme et l’éducation.
M. Gailly a salué l’impulsion politique d’un décollage économique du Sénégal qui s’inscrit dans une dynamique d’ensemble du continent africain.
El Hadj Diakhaté, envoyé spécial à Paris