Après l’Union européenne qui contribue pour 275,501 milliards FCFA au PSE, ce fut le tour du Pnud d’être plus concret.
De l’avis de M. Dièye cette contribution du PNUD se fera à travers son Plan Cadre pour l’Assistance au Développement sur la période 2012-2016, pour la mise en œuvre des trois axes stratégiques du PSE. Ces derniers sont : la Transformation structurelle de l’économie et la croissance ; le capital humain, la Protection Sociale et le développement durable ; et enfin, la Gouvernance, les Institutions et la Sécurité.
« En plus, révèle encore M. Dièye, le PNUD apportera son appui aux mécanismes de mesure et de suivi des progrès réalisés pour l’atteinte des objectifs du PSE ».
« Le Sénégal est déjà engagé dans cette autoroute à quatre voies qui mène vers l’émergence », soutient encore le directeur régional du PNUD. A ses yeux, ces quatre voies sont : la gouvernance vertueuse, la culture d’entreprise, la protection sociale, l’utilisation rationnelle du capital naturel et des services écologiques.
« Le document de stratégie qui nous est présenté pose avec séquence et cohérence les fondements de l’émergence, et prend en charge, dans un horizon temporel de 5 ans, le PSE, qui traduit une vision et une ambition d’un pays émergent d’ici 2035 », a laissé entendre M. Dièye. Selon lui, l’émergence ainsi conçue, est une phase d’accélération du processus de développement. Il estime que le moment est opportun et propice pour le Sénégal d’emprunter cette trajectoire au vu de son haut coefficient d’attractivité actuel et projeté, au vu des actes jusque-là posés dans la construction nationale et au vu de la vision prospective de son leadership qui a opté pour la transformation structurelle de l’économie comme matrice de l’émergence.
El Hadj Diakhaté, envoyé spécial à Paris
De l’avis de M. Dièye cette contribution du PNUD se fera à travers son Plan Cadre pour l’Assistance au Développement sur la période 2012-2016, pour la mise en œuvre des trois axes stratégiques du PSE. Ces derniers sont : la Transformation structurelle de l’économie et la croissance ; le capital humain, la Protection Sociale et le développement durable ; et enfin, la Gouvernance, les Institutions et la Sécurité.
« En plus, révèle encore M. Dièye, le PNUD apportera son appui aux mécanismes de mesure et de suivi des progrès réalisés pour l’atteinte des objectifs du PSE ».
« Le Sénégal est déjà engagé dans cette autoroute à quatre voies qui mène vers l’émergence », soutient encore le directeur régional du PNUD. A ses yeux, ces quatre voies sont : la gouvernance vertueuse, la culture d’entreprise, la protection sociale, l’utilisation rationnelle du capital naturel et des services écologiques.
« Le document de stratégie qui nous est présenté pose avec séquence et cohérence les fondements de l’émergence, et prend en charge, dans un horizon temporel de 5 ans, le PSE, qui traduit une vision et une ambition d’un pays émergent d’ici 2035 », a laissé entendre M. Dièye. Selon lui, l’émergence ainsi conçue, est une phase d’accélération du processus de développement. Il estime que le moment est opportun et propice pour le Sénégal d’emprunter cette trajectoire au vu de son haut coefficient d’attractivité actuel et projeté, au vu des actes jusque-là posés dans la construction nationale et au vu de la vision prospective de son leadership qui a opté pour la transformation structurelle de l’économie comme matrice de l’émergence.
El Hadj Diakhaté, envoyé spécial à Paris