La tenue de ce COS-PETROGAZ permettra selon le communiqué du Conseil des ministres, de faire la situation sur les projets pétroliers et gaziers et leurs impacts à court, moyen et long termes sur la vie économique et sociale du Sénégal.
L’Etat du Sénégal devrait tirer de l’exploitation de ses gisements d’hydrocarbures, des revenus de l’ordre de 20 000 milliards de francs Cfa sur 30 ans, correspondant à une moyenne de 700 milliards par an, avait indiqué le directeur général de Petrosen Thierno Seydou Ly, octobre dernier à Saly Portudal (Mbour).
« Ce sera faible au début car la production est attendue au quatrième trimestre de 2023, mais au fur et à mesure, les investissements seront beaucoup plus pérennes et il y aura plus de profits à partager. Le pic est attendu vers les années 2030, avant de redescendre », avait-il souligné en faisant l’état des lieux des projets pétroliers et gaziers du Sénégal au cours d’un atelier de partage du ministère du Pétrole et des énergies, à l’intention du Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes).
Bassirou MBAYE
L’Etat du Sénégal devrait tirer de l’exploitation de ses gisements d’hydrocarbures, des revenus de l’ordre de 20 000 milliards de francs Cfa sur 30 ans, correspondant à une moyenne de 700 milliards par an, avait indiqué le directeur général de Petrosen Thierno Seydou Ly, octobre dernier à Saly Portudal (Mbour).
« Ce sera faible au début car la production est attendue au quatrième trimestre de 2023, mais au fur et à mesure, les investissements seront beaucoup plus pérennes et il y aura plus de profits à partager. Le pic est attendu vers les années 2030, avant de redescendre », avait-il souligné en faisant l’état des lieux des projets pétroliers et gaziers du Sénégal au cours d’un atelier de partage du ministère du Pétrole et des énergies, à l’intention du Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes).
Bassirou MBAYE