Le Sénégal a perdu trois places pour son rendement global sur l’Etat de Droit, de la 46e place (dans l’Indice sur l’Etat de Droit 2016) à la 49e sur 113 pays dans son édition 2017-2018. Ce score place le pays 4e sur 18 dans la région Afrique Sub-Saharienne*, et 1e sur 12 parmi les pays à faible revenu**. Les tendances notables incluent une détérioration pour les facteurs Contraintes aux Pouvoirs du Gouvernement et Gouvernement Ouvert.
Les trois pays au meilleur rendement au sein de l’Indice sur l’Etat de Droit 2017-2018 sont le Danemark (1), la Norvège (2), et la Finlande (3); les trois pays les moins performants sont l’Afghanistan (111), le Cambodge (112), et le Venezuela (113). De manière globale, une majorité de pays ont vu leurs scores baisser depuis la publication du dernier Indice sur l’Etat de Droit du World Justice Project (en Octobre 2016), particulièrement en termes de droits de l’homme, de contrôles des pouvoirs du gouvernement, et de justice civile et pénale.
En Afrique Sub-Saharienne, le Ghana est le meilleur classé, supplantant l’Afrique du Sud par rapport à 2016 et se classant à la 43e place mondialement. Le Burkina Faso et le Kenya ont enregistré la plus forte progression dans le classement d’entre les 18 pays étudiés dans la région, de 8 et 5 places respectivement. Madagascar a accusé la plus forte chute au classement, perdant 8 places. Globalement, la région a enregistré une nette amélioration en termes d’absence de Corruption, avec quatre pays marquant une tendance à la hausse, et aucun pays n’ayant décliné.
L’Indice sur l’Etat de Droit du WJP est la principale source de données primaires sur l’Etat de droit. L’Indice se base sur plus de 110,000 enquêtes auprès de ménages et 3,000 enquêtes auprès d’experts afin de mesurer la façon dont la population ordinaire fait l’expérience et perçoit l’Etat de Droit à travers le monde. Le rendement de chaque pays est mesuré en utilisant un total de 44 indicateurs répartis entre 8 facteurs de base de l’Etat de droit, chacun d’entre eux ayant été noté et classé mondialement par rapport aux autres pays de sa région et de son niveau de revenu: Contraintes aux Pouvoirs du Gouvernement, Absence de Corruption, Gouvernement Ouvert, Droits Fondamentaux, Ordre et Sécurité, Application des Règlements, Justice Civile et Justice Pénale.
«Le respect de l’Etat de droit est fondamental pour des communautés de paix, d’équité et d’opportunité», indique William H. Neukom, Fondateur et PDG du WJP.
Pathé TOURE
Les trois pays au meilleur rendement au sein de l’Indice sur l’Etat de Droit 2017-2018 sont le Danemark (1), la Norvège (2), et la Finlande (3); les trois pays les moins performants sont l’Afghanistan (111), le Cambodge (112), et le Venezuela (113). De manière globale, une majorité de pays ont vu leurs scores baisser depuis la publication du dernier Indice sur l’Etat de Droit du World Justice Project (en Octobre 2016), particulièrement en termes de droits de l’homme, de contrôles des pouvoirs du gouvernement, et de justice civile et pénale.
En Afrique Sub-Saharienne, le Ghana est le meilleur classé, supplantant l’Afrique du Sud par rapport à 2016 et se classant à la 43e place mondialement. Le Burkina Faso et le Kenya ont enregistré la plus forte progression dans le classement d’entre les 18 pays étudiés dans la région, de 8 et 5 places respectivement. Madagascar a accusé la plus forte chute au classement, perdant 8 places. Globalement, la région a enregistré une nette amélioration en termes d’absence de Corruption, avec quatre pays marquant une tendance à la hausse, et aucun pays n’ayant décliné.
L’Indice sur l’Etat de Droit du WJP est la principale source de données primaires sur l’Etat de droit. L’Indice se base sur plus de 110,000 enquêtes auprès de ménages et 3,000 enquêtes auprès d’experts afin de mesurer la façon dont la population ordinaire fait l’expérience et perçoit l’Etat de Droit à travers le monde. Le rendement de chaque pays est mesuré en utilisant un total de 44 indicateurs répartis entre 8 facteurs de base de l’Etat de droit, chacun d’entre eux ayant été noté et classé mondialement par rapport aux autres pays de sa région et de son niveau de revenu: Contraintes aux Pouvoirs du Gouvernement, Absence de Corruption, Gouvernement Ouvert, Droits Fondamentaux, Ordre et Sécurité, Application des Règlements, Justice Civile et Justice Pénale.
«Le respect de l’Etat de droit est fondamental pour des communautés de paix, d’équité et d’opportunité», indique William H. Neukom, Fondateur et PDG du WJP.
Pathé TOURE