« Mais également de mener des travaux sur l’agriculture et la sécurité alimentaire, de façon à voir l’ensemble des questions analysées, observées, au même endroit afin d’avoir des interactions » a-t-il ajouté.
Yves Duval s’exprimait lors de la cérémonie d’ouverture du symposium scientifique marquant le cinquantenaire de l’observatoire de Niakhar.
« La politique de l’IRD est de travailler sur des questions multidisciplinaires et nous comptons étendre nos travaux de recherches sur d’autres zones du Sénégal et même dans le monde entier » a souligné le représentant de l’Institut de Recherche pour le Développement au Sénégal.
« Maintenant, malgré l’approche multidisciplinaire, c’est toujours difficile de faire travailler des médecins avec des agriculteurs ou de faire travailler des sociologues avec des spécialistes de l’environnement » poursuit- il.
« Il faut rappeler que l’IRD compte 49 observatoires sur 40 pays mais un observatoire c’est un endroit ou l’on étudie ; on ne peut pas étudier avec autant de précision et de finesse partout. Par contre ce qu’on découvre et analyse on le mettra en évidence à un endroit précis comme le cas de Niakhar et si c’est pertinent on le développe partout » a ajouté M. Duval.
« Les perspectives de l’observatoire de Niakhar, c’est de voir comment toutes ces connaissances sur la démographie et la santé, sur l’homme, la population en générale, car il y’a d’autres disciplines scientifiques ou l’IRD est compétente , pourrait être expérimenté à Niakhar afin de compléter ces connaissances ».
Ndeye Maquette Kébe
Yves Duval s’exprimait lors de la cérémonie d’ouverture du symposium scientifique marquant le cinquantenaire de l’observatoire de Niakhar.
« La politique de l’IRD est de travailler sur des questions multidisciplinaires et nous comptons étendre nos travaux de recherches sur d’autres zones du Sénégal et même dans le monde entier » a souligné le représentant de l’Institut de Recherche pour le Développement au Sénégal.
« Maintenant, malgré l’approche multidisciplinaire, c’est toujours difficile de faire travailler des médecins avec des agriculteurs ou de faire travailler des sociologues avec des spécialistes de l’environnement » poursuit- il.
« Il faut rappeler que l’IRD compte 49 observatoires sur 40 pays mais un observatoire c’est un endroit ou l’on étudie ; on ne peut pas étudier avec autant de précision et de finesse partout. Par contre ce qu’on découvre et analyse on le mettra en évidence à un endroit précis comme le cas de Niakhar et si c’est pertinent on le développe partout » a ajouté M. Duval.
« Les perspectives de l’observatoire de Niakhar, c’est de voir comment toutes ces connaissances sur la démographie et la santé, sur l’homme, la population en générale, car il y’a d’autres disciplines scientifiques ou l’IRD est compétente , pourrait être expérimenté à Niakhar afin de compléter ces connaissances ».
Ndeye Maquette Kébe