S'exprimant en marge du septième comité stratégique du Pôle Stratégies de développement et finances publiques de Dakar, un cadre d'expertise mis en place par le PNU de concert avec la France, M. Dièye a toutefois salué la croissance économique observée en Afrique au cours depuis 2.000.
Pourtant, ces taux de l’ordre de 5 à 6% en moyenne, ‘’ne permettront pas de réduire la pauvreté", a-t-il en Afrique, a-t-il dit, en citant des calculs d’experts.
Selon le directeur régional du PNUD, les pays africains doivent viser des taux de croissance de l'ordre 7% et plus. ''Il y a des éléments qui limitent un peu cela, il y a le niveau de croissance, mais il y a aussi des contraintes structurelles qui font que l'impact de la croissance n'est pas effectif sur le plan du développement humain", a expliqué M. Dièye.
Il a signalé "les énormes inégalités" constatées dans ce domaine, en précisant que les inégalités horizontales, par exemple, sont notées lorsque des groupes sont exclus du processus et doivent donc être corrigées.
Si l'on en croit Abdoulaye Mar Dièye, dans de pareils cas, il s'agit d'une "grande contrainte" qui freine l'impact de la croissance sur le plan social et du développement humain.
La vérité, c'est que les économies africaines "ne sont pas structurellement transformées", ce qui fait que la croissance est souvent réduit à un certain nombre de secteur, a analysé le directeur régional du PNUD.
APS
Pourtant, ces taux de l’ordre de 5 à 6% en moyenne, ‘’ne permettront pas de réduire la pauvreté", a-t-il en Afrique, a-t-il dit, en citant des calculs d’experts.
Selon le directeur régional du PNUD, les pays africains doivent viser des taux de croissance de l'ordre 7% et plus. ''Il y a des éléments qui limitent un peu cela, il y a le niveau de croissance, mais il y a aussi des contraintes structurelles qui font que l'impact de la croissance n'est pas effectif sur le plan du développement humain", a expliqué M. Dièye.
Il a signalé "les énormes inégalités" constatées dans ce domaine, en précisant que les inégalités horizontales, par exemple, sont notées lorsque des groupes sont exclus du processus et doivent donc être corrigées.
Si l'on en croit Abdoulaye Mar Dièye, dans de pareils cas, il s'agit d'une "grande contrainte" qui freine l'impact de la croissance sur le plan social et du développement humain.
La vérité, c'est que les économies africaines "ne sont pas structurellement transformées", ce qui fait que la croissance est souvent réduit à un certain nombre de secteur, a analysé le directeur régional du PNUD.
APS