Le foncier au Sénégal soulève beaucoup de problémes
Le projet d’une durée d’exécution de cinq ans, avec une période de contractualisation de trois ans est logé à la Direction Générale des Impôts et Domaines a ajouté M .Sine .
L’annonce a été faite lors d’un atelier de partage avec les organes de presse sur le système foncier sénégalais et les différentes réformes foncières.
Cet atelier vise un objectif double : d’abord à sensibiliser les différents acteurs sur l’importance du projet pour l’Etat du Sénégal par un large partage de l’information .Ensuite, il constituera un prétexte pour renforcer les connaissances des journalistes sur les questions foncières et créer ainsi un réseau de correspondants dans les rédactions promptes à relayer la bonne information foncière.
Selon Alé Sine, « c’est pour participer à l’amélioration de la gouvernance foncière, que la Direction Générale des Impôts et Domaines (DGID) a estimé qu’il fallait rattraper le retard que le bloc foncier à accusé par rapport au domaine fiscal qui est le bloc en charge du recouvrement des impôts ».
« C’est la raison pour laquelle, la Direction Général des Impôts et Domaines (DGID) a engagé un processus de modernisation de ce bloc foncier surtout pour répondre aux soucis des populations d’avoir une administration qui gère de manière transparente le foncier de sorte que les données foncières domaniales soient disponibles, accessibles et surtout fiables » a expliqué Alé Sine.
Il indique que « ce projet qui vient en appui à l’ancien projet dit Projet d’Appui à la Modernisation du Cadastre (PAMOCA) permettra d’aller vers une informatisation des procédures surtout pour répondre aux soucis des populations mais également d’avoir une administration moderne de sorte que les populations puissent disposer de leurs titres de propriétés dans les délais suffisamment raisonnables ».
Il estime que, « Pour rendre ses renseignements disponibles, il faudra tout un ensemble d’activités, de réformes à entreprendre notamment dans le cadre de la législature et la réglementation. Car, le PAGEF s’inscrit dans une dynamique de moderniser le bloc du foncier en rendant les données foncières d’abord plus accessible et fiables ».
Pour mener à bien ces missions « La presse constitue un relais extrement important car on ne peut pas faire un travail de sensibilisation si celle-ci ne dispose pas de la bonne information » a-t-il dit.
« Nous voulons faire de la presse le partenaire privilégié pour la vulgarisation et la sensibilisation en direction des populations, que celles-ci comprennent qu’on est engagé dans un processus de changement pour améliorer la gouvernance foncière et de rendre plus transparent les dispositifs de gestion foncier » a indiqué M. Sine .
Il est attendu de cet atelier de permette une meilleure sensibilisation autour de la réforme foncière, un élargissement substantiel du champ de concertation et une meilleure appropriation du processus de réforme, notamment des résultats, par les différents acteurs.
Ndeye Maguette Kebé
L’annonce a été faite lors d’un atelier de partage avec les organes de presse sur le système foncier sénégalais et les différentes réformes foncières.
Cet atelier vise un objectif double : d’abord à sensibiliser les différents acteurs sur l’importance du projet pour l’Etat du Sénégal par un large partage de l’information .Ensuite, il constituera un prétexte pour renforcer les connaissances des journalistes sur les questions foncières et créer ainsi un réseau de correspondants dans les rédactions promptes à relayer la bonne information foncière.
Selon Alé Sine, « c’est pour participer à l’amélioration de la gouvernance foncière, que la Direction Générale des Impôts et Domaines (DGID) a estimé qu’il fallait rattraper le retard que le bloc foncier à accusé par rapport au domaine fiscal qui est le bloc en charge du recouvrement des impôts ».
« C’est la raison pour laquelle, la Direction Général des Impôts et Domaines (DGID) a engagé un processus de modernisation de ce bloc foncier surtout pour répondre aux soucis des populations d’avoir une administration qui gère de manière transparente le foncier de sorte que les données foncières domaniales soient disponibles, accessibles et surtout fiables » a expliqué Alé Sine.
Il indique que « ce projet qui vient en appui à l’ancien projet dit Projet d’Appui à la Modernisation du Cadastre (PAMOCA) permettra d’aller vers une informatisation des procédures surtout pour répondre aux soucis des populations mais également d’avoir une administration moderne de sorte que les populations puissent disposer de leurs titres de propriétés dans les délais suffisamment raisonnables ».
Il estime que, « Pour rendre ses renseignements disponibles, il faudra tout un ensemble d’activités, de réformes à entreprendre notamment dans le cadre de la législature et la réglementation. Car, le PAGEF s’inscrit dans une dynamique de moderniser le bloc du foncier en rendant les données foncières d’abord plus accessible et fiables ».
Pour mener à bien ces missions « La presse constitue un relais extrement important car on ne peut pas faire un travail de sensibilisation si celle-ci ne dispose pas de la bonne information » a-t-il dit.
« Nous voulons faire de la presse le partenaire privilégié pour la vulgarisation et la sensibilisation en direction des populations, que celles-ci comprennent qu’on est engagé dans un processus de changement pour améliorer la gouvernance foncière et de rendre plus transparent les dispositifs de gestion foncier » a indiqué M. Sine .
Il est attendu de cet atelier de permette une meilleure sensibilisation autour de la réforme foncière, un élargissement substantiel du champ de concertation et une meilleure appropriation du processus de réforme, notamment des résultats, par les différents acteurs.
Ndeye Maguette Kebé