"C'est ma deuxième visite à Yamane, site du projet, et je dois avouer que j'ai été impressionné par le développement de ce projet", a dit M. Marshall, vendredi au cours d'une visite guidée à l'intention de la presse. "Chez nous, la saison ne dure pas longtemps et ces agriculteurs ont pris la décision d'explorer d'autres horizons pour continuer leurs activités en toute saison", a expliqué l'ambassadeur britannique. Suivant cette perspective, la vallée du fleuve Sénégal "a été identifiée comme une zone à fort potentiel pour la culture de radis et d'oignon pour alimenter les grands supermarchés". L'ambassadeur britannique s'est de plus félicité "des bonnes relations" liant les responsables de la société West Africa Farms aux populations locales qui selon lui soutiennent ce projet.
"Il y a 27 villages qui ont des travailleurs ici pour environ 800 personnes employées dont 20 permanents", a relevé le diplomate, évaluant à 40 millions de francs CFA la masse salariale mensuelle des employés de la société. S'ils ne veulent pas s'engager en faveur de West Africa Farms, les populations ont le loisir de mener leurs propres activités grâce à un canal de 4,5 km creusé par la société britannique, a-t-il renseigné.
Il s'est dit optimiste pour l'avenir de ce projet dont les responsables sont en pourparlers avec le conseil rural de la communauté rurale de Gnith pour la conclusion d'un nouvel accord. "Les entretiens que j'ai eus avec les chefs de villages, les imams et les conseillers m'ont convaincu de l'appropriation de ce projet qui emploie des populations en provenance de 27 localités différentes", a déclaré M. Marshall.
De son côté, Mounir Samb, coordonnateur du projet, a souligné "la complicité existante entre les promoteurs de WAF et les populations qui ont bénéficié de formations pour s'imprégner des normes européennes en matière agricole". Il a invité les investisseurs à venir explorer cette zone du Sénégal pour contribuer au développement économie du Sénégal qui selon lui passera forcément par agriculture. Pour preuve, dans cette zone, "on ne connait pas le chômage et tous les jeunes notamment les femmes travaillent chez nous ou pour leur propre compte", a-t-il dit.
APS
"Il y a 27 villages qui ont des travailleurs ici pour environ 800 personnes employées dont 20 permanents", a relevé le diplomate, évaluant à 40 millions de francs CFA la masse salariale mensuelle des employés de la société. S'ils ne veulent pas s'engager en faveur de West Africa Farms, les populations ont le loisir de mener leurs propres activités grâce à un canal de 4,5 km creusé par la société britannique, a-t-il renseigné.
Il s'est dit optimiste pour l'avenir de ce projet dont les responsables sont en pourparlers avec le conseil rural de la communauté rurale de Gnith pour la conclusion d'un nouvel accord. "Les entretiens que j'ai eus avec les chefs de villages, les imams et les conseillers m'ont convaincu de l'appropriation de ce projet qui emploie des populations en provenance de 27 localités différentes", a déclaré M. Marshall.
De son côté, Mounir Samb, coordonnateur du projet, a souligné "la complicité existante entre les promoteurs de WAF et les populations qui ont bénéficié de formations pour s'imprégner des normes européennes en matière agricole". Il a invité les investisseurs à venir explorer cette zone du Sénégal pour contribuer au développement économie du Sénégal qui selon lui passera forcément par agriculture. Pour preuve, dans cette zone, "on ne connait pas le chômage et tous les jeunes notamment les femmes travaillent chez nous ou pour leur propre compte", a-t-il dit.
APS