« Le don d’un montant d’environ 1,9milliard de FCFA servira à l’acquisition d’engrais (urée) », a-t-il ajouté.
« Le représentant résident de la JICA souligne que la mise à disposition à temps, d’intrants de qualité est une condition importante pour la réussite des campagnes agricoles ».
Il se prononçait à la cérémonie d’échange de note et de signature de l’accord de don relatif au projet de sécurité alimentaire pour les agriculteurs défavorisés.
Selon lui, « Le présent accord de don est destiné à soutenir les productions de mil, de maïs, et principalement de riz dans les régions de saint louis, Matam, Fatick, kaolack et s’inscrit dans le cadre de l’aide financière non remboursable relative au projet de sécurité alimentaire pour les agriculteurs défavorisés ».
C’est une aide que le gouvernement du Japon, à travers la JICA apporte aux agriculteurs défavorisés afin de soutenir l’augmentation de la production agricole en vue de l’accroissement de la sécurité alimentaire.
« Il convient de rappeler que le projet de sécurité alimentaire pour les agriculteurs défavorisés a un double avantage », a-t-il noté.
En effet les ressources générées par la vente de l’engrais sont accumulées dans le fonds de contrepartie pour le financement des projets de développement rural durable.
Ndeye Maguette Kébé
« Le représentant résident de la JICA souligne que la mise à disposition à temps, d’intrants de qualité est une condition importante pour la réussite des campagnes agricoles ».
Il se prononçait à la cérémonie d’échange de note et de signature de l’accord de don relatif au projet de sécurité alimentaire pour les agriculteurs défavorisés.
Selon lui, « Le présent accord de don est destiné à soutenir les productions de mil, de maïs, et principalement de riz dans les régions de saint louis, Matam, Fatick, kaolack et s’inscrit dans le cadre de l’aide financière non remboursable relative au projet de sécurité alimentaire pour les agriculteurs défavorisés ».
C’est une aide que le gouvernement du Japon, à travers la JICA apporte aux agriculteurs défavorisés afin de soutenir l’augmentation de la production agricole en vue de l’accroissement de la sécurité alimentaire.
« Il convient de rappeler que le projet de sécurité alimentaire pour les agriculteurs défavorisés a un double avantage », a-t-il noté.
En effet les ressources générées par la vente de l’engrais sont accumulées dans le fonds de contrepartie pour le financement des projets de développement rural durable.
Ndeye Maguette Kébé