’’Dans le contexte des changements climatiques, nous sommes à la recherche de technologies pour permettre à nos producteurs de produire sans difficultés. L’agriculture de conservation est une des ces techniques permettant de gérer l’eau à la parcelle’’, a-t-il dit.
M. Lamien s’exprimait, mercredi, en marge de l’ouverture d’un atelier de validation du projet ‘’promotion de l’agriculture de conservation en Afrique de l’Ouest et du Centre (PROMACA).
’’Cette technique, selon lui, permet de garder l’eau sur la parcelle parce que sa particularité est d’avoir beaucoup plus de matières organiques dans le sol couvert lequel minimise l’évaporation de peu d’eau recueillie à travers la pluie’’.
’’C’est cette technique que nous voulons proposer à nos producteurs pour qu’ils soient plus résilients par rapport aux effets du changement climatique’’, a indiqué Niéyidouba Lamien qui représentait le directeur exécutif du CORAF à cette rencontre.
Les effets dévastateurs du réchauffement climatique continuent de s’aggraver pour les familles agricoles à faible revenu qui dépendent de l’agriculture pluviale, a-t-il relevé.
’’C’est une priorité et nos efforts de coordination viseront en outre à identifier et à partager des technologies, des innovations et des approches pour renforcer ces communautés vulnérables’’, a dit le coordonnateur.
Expliquant les avantages de ce procédé, il a indiqué que les sols où s’exerce cette agriculture de conservation résistent le plus en cas de poches de sécheresse. En l’absence de pluie, des résidus d’eau permettent aux plants de traverser ces poches de sécheresse.
’’Nous trouvons que c’est une technologie que nous devons proposer à nos producteurs’’, a-t-il argumenté.
En sus, de la maitrise de l’eau, l’agriculture de conservation demande également une dose de mécanisation et des semences améliorées, a-t-il ajouté, ajoutant qu’avec l’expertise régionale, ’’nous arrivons à sa mise en œuvre’’.
APS
M. Lamien s’exprimait, mercredi, en marge de l’ouverture d’un atelier de validation du projet ‘’promotion de l’agriculture de conservation en Afrique de l’Ouest et du Centre (PROMACA).
’’Cette technique, selon lui, permet de garder l’eau sur la parcelle parce que sa particularité est d’avoir beaucoup plus de matières organiques dans le sol couvert lequel minimise l’évaporation de peu d’eau recueillie à travers la pluie’’.
’’C’est cette technique que nous voulons proposer à nos producteurs pour qu’ils soient plus résilients par rapport aux effets du changement climatique’’, a indiqué Niéyidouba Lamien qui représentait le directeur exécutif du CORAF à cette rencontre.
Les effets dévastateurs du réchauffement climatique continuent de s’aggraver pour les familles agricoles à faible revenu qui dépendent de l’agriculture pluviale, a-t-il relevé.
’’C’est une priorité et nos efforts de coordination viseront en outre à identifier et à partager des technologies, des innovations et des approches pour renforcer ces communautés vulnérables’’, a dit le coordonnateur.
Expliquant les avantages de ce procédé, il a indiqué que les sols où s’exerce cette agriculture de conservation résistent le plus en cas de poches de sécheresse. En l’absence de pluie, des résidus d’eau permettent aux plants de traverser ces poches de sécheresse.
’’Nous trouvons que c’est une technologie que nous devons proposer à nos producteurs’’, a-t-il argumenté.
En sus, de la maitrise de l’eau, l’agriculture de conservation demande également une dose de mécanisation et des semences améliorées, a-t-il ajouté, ajoutant qu’avec l’expertise régionale, ’’nous arrivons à sa mise en œuvre’’.
APS