Cette réaction fait suite à la parution dans l’édition n° 4453 du 31 juillet 2018, du journal « L’OBSERVATEUR » qui avait titré, à sa Une : « La CENTIF activée pour une enquête sur les biens de l’ex-Premier Ministre ».
Ce département qui dépend du Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan fait état d’un article à la page 3 du journal signé par le confrère Mamadou Seck et intitulé « Cheikh Hadjibou Soumaré dans le collimateur de la CENTIF ».
Le journal affirmait que « l’Etat a activé la CENTIF pour fouiller dans le portefeuille de l’ancien Président de la Commission de l’UEMOA. »
Devant cet état de fait, la CENTIF porte à l’attention de qui de droit qu’elle n’a reçu ni de déclarations d’opérations suspectes, ni été saisie pour mener des investigations au sujet de M. Cheikh Hadjibou Soumaré.
Par conséquent, précise-t-elle, « l’information donnée par le journal est dénuée de tout fondement ».
Pour rappel, la CENTIF dont les missions sont encadrées par la loi, est chargée de recevoir et de traiter les déclarations d’opérations suspectes faites par des personnes assujetties, limitativement désignées.
A ce titre, relève la même source, cet organe de contrôle est dotée d’un pouvoir de décision autonome sur les affaires liées au blanchiment de capitaux et au financement du terrorisme.
D’après lui, ce pouvoir se traduit notamment par le traitement des déclarations qui sont communiquées à la CENTIF de manière confidentielle et sans interférence aucune.
Mariama Diallo
Ce département qui dépend du Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan fait état d’un article à la page 3 du journal signé par le confrère Mamadou Seck et intitulé « Cheikh Hadjibou Soumaré dans le collimateur de la CENTIF ».
Le journal affirmait que « l’Etat a activé la CENTIF pour fouiller dans le portefeuille de l’ancien Président de la Commission de l’UEMOA. »
Devant cet état de fait, la CENTIF porte à l’attention de qui de droit qu’elle n’a reçu ni de déclarations d’opérations suspectes, ni été saisie pour mener des investigations au sujet de M. Cheikh Hadjibou Soumaré.
Par conséquent, précise-t-elle, « l’information donnée par le journal est dénuée de tout fondement ».
Pour rappel, la CENTIF dont les missions sont encadrées par la loi, est chargée de recevoir et de traiter les déclarations d’opérations suspectes faites par des personnes assujetties, limitativement désignées.
A ce titre, relève la même source, cet organe de contrôle est dotée d’un pouvoir de décision autonome sur les affaires liées au blanchiment de capitaux et au financement du terrorisme.
D’après lui, ce pouvoir se traduit notamment par le traitement des déclarations qui sont communiquées à la CENTIF de manière confidentielle et sans interférence aucune.
Mariama Diallo