‘’Ce projet de coopération technique a été mis en œuvre dans la région du nord afin d’accroître la productivité et la rentabilité de la riziculture dans al vallée du fleuve Sénégal’’ a dit M. Kato, lors d’un atelier de partage sur les résultats, après quatre années d’exécution.
‘’Nous pouvons retenir des éléments de satisfaction liés d’une part à une hausse de la productivité de 15% et conséquemment une hausse des revenus des producteurs’’ s’est- il réjoui.
Les résultats qui sont ‘‘très encourageants renforcent notre engagement conjoint à soutenir l’émergence d’une filière rizicole durable, capable de répondre aux objectifs de souveraineté alimentaire’’, a encore dit le représentant-résident de la JICA.
Ces résultats mettent en exergue la grande contribution du projet à l’atteinte des objectifs d’autosuffisance en riz à l’horizon 2017, tels que déclinés par les autorités sénégalaises, dans le programme national d’autosuffisance en riz (PNAR) et à moyen terme dans le volet riz du programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise.
C’est pourquoi, ‘’nous pensons qu’il est important d’adresser les problèmes de la filière selon une approche intégrée, impliquant l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur notamment les producteurs, riziers, commerçants, consommateurs, soutenus des services de support qui répondent aux besoins des acteurs de la filière’’, a dit Ryiu Chi Kato.
''Nous avons noté avec intérêt que le projet a développé avec succès une approche participative dans la réfection et la maintenance de petits périmètres irrigués avec l’amélioration de la qualité du riz blanc usiné. C’est ce qui rend le riz local apte à conquérir le marché urbain’’ a expliqué le représentant résident.
Plusieurs recommandations ont été annoncées pour une autosuffisance du riz. Il s’agit d’un plan d’action pour la poursuite du développement de la filière rizicole, de l’amélioration de la méthodologie des agents de vulgarisation, de la promotion de la mécanisation agricole et de la production de semences de qualité.
Ainsi, Ryiu Chi Kato a exprimé la volonté de la JICA de renouveler le plus rapidement son appui pour la mise en œuvre d’une seconde phase du projet PAPRIZ, afin de consolider les acquis de la première phase et de contribuer à relever le défis de l’autosuffisance en riz.
APS
‘’Nous pouvons retenir des éléments de satisfaction liés d’une part à une hausse de la productivité de 15% et conséquemment une hausse des revenus des producteurs’’ s’est- il réjoui.
Les résultats qui sont ‘‘très encourageants renforcent notre engagement conjoint à soutenir l’émergence d’une filière rizicole durable, capable de répondre aux objectifs de souveraineté alimentaire’’, a encore dit le représentant-résident de la JICA.
Ces résultats mettent en exergue la grande contribution du projet à l’atteinte des objectifs d’autosuffisance en riz à l’horizon 2017, tels que déclinés par les autorités sénégalaises, dans le programme national d’autosuffisance en riz (PNAR) et à moyen terme dans le volet riz du programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise.
C’est pourquoi, ‘’nous pensons qu’il est important d’adresser les problèmes de la filière selon une approche intégrée, impliquant l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur notamment les producteurs, riziers, commerçants, consommateurs, soutenus des services de support qui répondent aux besoins des acteurs de la filière’’, a dit Ryiu Chi Kato.
''Nous avons noté avec intérêt que le projet a développé avec succès une approche participative dans la réfection et la maintenance de petits périmètres irrigués avec l’amélioration de la qualité du riz blanc usiné. C’est ce qui rend le riz local apte à conquérir le marché urbain’’ a expliqué le représentant résident.
Plusieurs recommandations ont été annoncées pour une autosuffisance du riz. Il s’agit d’un plan d’action pour la poursuite du développement de la filière rizicole, de l’amélioration de la méthodologie des agents de vulgarisation, de la promotion de la mécanisation agricole et de la production de semences de qualité.
Ainsi, Ryiu Chi Kato a exprimé la volonté de la JICA de renouveler le plus rapidement son appui pour la mise en œuvre d’une seconde phase du projet PAPRIZ, afin de consolider les acquis de la première phase et de contribuer à relever le défis de l’autosuffisance en riz.
APS