La question de l’autonomisation des femmes au sein de l’Union Economique Monétaire Ouest Africaine(UEMOA) est un processus qui est toujours en cours. Les Etats de l’espace l’UEMOA entreprennent beaucoup d’actions avec des initiatives et des fonds qui sont mis en place. Mais on ne peut parler d’une autonomisation des femmes parce que nous sommes à la phase de réflexion et à la recherche de solutions pouvant nous conduire à atteindre cet objectif d’autonomiser les femmes a expliqué la Directrice du Genre à la commission de l’UEMOA.
Elle s’exprimait au cours d’un atelier de restitution de l’étude portant sur « alphabétisation et autonomisation des femmes » réalisé par l’ONG Aide Action internationale, en partenariat avec la commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine.
« Cette étude est une première expérience d’un partenariat que nous voulons établir avec l’ONG Aide et Action Internationale spécialisée en matière d’éducation et qui a voulu porter la réflexion en faisant le lien entre éducation et autonomisation des femmes « a-t-elle indiqué.
Selon elle, « Il s’agit de renforcer les capacités des femmes, de leurs donner les moyens de développer des activités qui vont être porteuse de revenues ».
« Cette étude relève donc d’un diagnostic que nous avons voulu faire pour savoir quelles sont les situations des femmes, leurs besoins et les stratégies innovantes que nous pouvons mettre à leur disposition pour les accompagner dans leur quête d’autonomisation ».
« Ce diagnostic va proposer des solutions et il s’agira au cours de cet atelier de valider les propositions, d’en discuter avec les Etats membres et de voir dans quelles mesures nous pouvons développer un programme autour de ce sujet de l’autonomisation » a renseigné M. MININGOU.
« La commission de l’UEMOA veut faire du programme de l’autonomisation des femmes, un programme transfrontalier intégrateur qui permet aux citoyens d’un même espace communautaire de se reconnaitre mais également tenter de mobiliser différents partenariats techniques et financiers pour aller à un programme régional », conclut la directrice du genre à la commission de l’Uemoa.
Ndeye Maguette Kébé
Elle s’exprimait au cours d’un atelier de restitution de l’étude portant sur « alphabétisation et autonomisation des femmes » réalisé par l’ONG Aide Action internationale, en partenariat avec la commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine.
« Cette étude est une première expérience d’un partenariat que nous voulons établir avec l’ONG Aide et Action Internationale spécialisée en matière d’éducation et qui a voulu porter la réflexion en faisant le lien entre éducation et autonomisation des femmes « a-t-elle indiqué.
Selon elle, « Il s’agit de renforcer les capacités des femmes, de leurs donner les moyens de développer des activités qui vont être porteuse de revenues ».
« Cette étude relève donc d’un diagnostic que nous avons voulu faire pour savoir quelles sont les situations des femmes, leurs besoins et les stratégies innovantes que nous pouvons mettre à leur disposition pour les accompagner dans leur quête d’autonomisation ».
« Ce diagnostic va proposer des solutions et il s’agira au cours de cet atelier de valider les propositions, d’en discuter avec les Etats membres et de voir dans quelles mesures nous pouvons développer un programme autour de ce sujet de l’autonomisation » a renseigné M. MININGOU.
« La commission de l’UEMOA veut faire du programme de l’autonomisation des femmes, un programme transfrontalier intégrateur qui permet aux citoyens d’un même espace communautaire de se reconnaitre mais également tenter de mobiliser différents partenariats techniques et financiers pour aller à un programme régional », conclut la directrice du genre à la commission de l’Uemoa.
Ndeye Maguette Kébé