Pour Abdou Latif Coulibaly , ‘’C’est l’une des raison pour lesquelles le gouvernement a mis en place des structures de lutte et des structures de préventions de ces dérives qui depuis l’indépendance de nos états pose un certains nombre de problèmes qu’il urge de régler pour assurer notre développement dans la durée et de façon harmonieuse’’.
Il s’exprimait lors de la cérémonie de lancement de la campagne nationale de sensibilisation et de plaidoyer sur les coûts de la corruption. Cette campagne de trois mois va sillonner six régions du Sénégal : Dakar, Thiès, Kédougou, Kolda, Ziguinchor et Sédhiou. Elle est organisée par L’Observatoire des acteurs non étatiques de lutte contre la non-transparence, la corruption et la concussion (OANEL2C), comprenant L’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) et le Programme Gouvernance et paix de l’USAID au Sénégal
‘’On ne peut pas lutter contre la corruption si la population elle-même n’est pas sensibilisée et ne comprend pas les enjeux et la gravité du phénomène. C’est la raison pour la laquelle en association avec les acteurs non étatique à travers l’observatoire qu’ils ont mis en place depuis trois ans nous avons conclu un accord qui nous permet ensemble d’engager une sensibilisation au niveau des populations sénégalaise’’, a ajouté M. Coulibaly
‘’Il s’agit de faire un plaidoyer auprès des différentes autorités gouvernementales, des collectivités locales et autres acteurs impliqués par la question pour faire en sorte qu’on prenne conscience des coûts de la corruption , de sa gravité sur notre développement et sur la nécessité de mettre en place des mécanismes, des moyens de lutte contres ces fléaux ‘’a-t-il expliqué
M.coulibaly estime qu’il n’y pas ‘’pour l’instant un coût déterminé mais il y’a un coût politique car si les autorités politiques sont corrompus, il y’a un certain nombre de conséquences sur la conduite du projet démocratique nationale et s’y ajoutent des coûts sociaux parce que la population elle-même est privée des moyens qui auraient du être destinés à ces besoins, un coût économique car la corruption peut coûter chaque année 1 à 1.5 de point de croissance ‘’.
La sensibilisation ne va durer que trois mois mais c’est un combat permanent. Une évaluation sera faite du point de vue sommatif pour voir qu’elle a été l’impact du point des cibles, messages qui ont été véhiculé, leurs traductions concrètes sur le terrain en actions pour conduire à un changement de mentalité et de comportement avant de procéder à d’autres campagnes en permanence.
La sensibilisation sera orientée sensiblement vers au moins quatre secteurs stratégiques : éducation, santé, justice et les mines.
Ndeye Maguette Kebé
Il s’exprimait lors de la cérémonie de lancement de la campagne nationale de sensibilisation et de plaidoyer sur les coûts de la corruption. Cette campagne de trois mois va sillonner six régions du Sénégal : Dakar, Thiès, Kédougou, Kolda, Ziguinchor et Sédhiou. Elle est organisée par L’Observatoire des acteurs non étatiques de lutte contre la non-transparence, la corruption et la concussion (OANEL2C), comprenant L’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) et le Programme Gouvernance et paix de l’USAID au Sénégal
‘’On ne peut pas lutter contre la corruption si la population elle-même n’est pas sensibilisée et ne comprend pas les enjeux et la gravité du phénomène. C’est la raison pour la laquelle en association avec les acteurs non étatique à travers l’observatoire qu’ils ont mis en place depuis trois ans nous avons conclu un accord qui nous permet ensemble d’engager une sensibilisation au niveau des populations sénégalaise’’, a ajouté M. Coulibaly
‘’Il s’agit de faire un plaidoyer auprès des différentes autorités gouvernementales, des collectivités locales et autres acteurs impliqués par la question pour faire en sorte qu’on prenne conscience des coûts de la corruption , de sa gravité sur notre développement et sur la nécessité de mettre en place des mécanismes, des moyens de lutte contres ces fléaux ‘’a-t-il expliqué
M.coulibaly estime qu’il n’y pas ‘’pour l’instant un coût déterminé mais il y’a un coût politique car si les autorités politiques sont corrompus, il y’a un certain nombre de conséquences sur la conduite du projet démocratique nationale et s’y ajoutent des coûts sociaux parce que la population elle-même est privée des moyens qui auraient du être destinés à ces besoins, un coût économique car la corruption peut coûter chaque année 1 à 1.5 de point de croissance ‘’.
La sensibilisation ne va durer que trois mois mais c’est un combat permanent. Une évaluation sera faite du point de vue sommatif pour voir qu’elle a été l’impact du point des cibles, messages qui ont été véhiculé, leurs traductions concrètes sur le terrain en actions pour conduire à un changement de mentalité et de comportement avant de procéder à d’autres campagnes en permanence.
La sensibilisation sera orientée sensiblement vers au moins quatre secteurs stratégiques : éducation, santé, justice et les mines.
Ndeye Maguette Kebé