‘’Concilier développement durable et exploitation de ressources minérales, par définition non-renouvelables, représente d’entrée de jeu un important défi’’, a-t-il dit au cours de la première édition de l’atelier francophone de concertation régionale sur la responsabilité sociétale d’entreprise (RSE) dans les industries extractives.
Selon lui, ‘’la thématique de cet atelier, +le développement minier durable : un puissant levier pour la francophonie économique+, nous rappelle que la gestion et l’exploitation écologiques rationnelles et socialement responsables de ces ressources peuvent contribuer efficacement à la lutte contre la pauvreté par l’amélioration des conditions de vie des populations des territoires concernés’’.
Cette rencontre de deux jours ‘’sur la RSE dans les industries extractives en Afrique de l’Ouest vise à créer un espace de dialogue crédible en collaboration avec les parties prenantes en vue de faciliter l’adoption, et l’implantation de bonnes pratiques de développement durable dans le secteur des industries extractives en général, et minières en particulier’’.
Tharcisse Urayeneza a expliqué que ‘’la bonne gouvernance des industries extractives dans les pays francophones, est non seulement un puissant levier de la francophonie économique, mais c’est aussi un enjeu de taille pour tout ce qui est du développement durable, viable, équitable et productif de nos pays’’.
Cet atelier qui fait partie des manifestations d’environnement du XV sommet de la francophonie, prévue en fin novembre à Dakar est l’occasion pour les participants de se pencher sur ‘’les questions d’orpaillage, d’environnement, de gouvernance minière, de genre, de transparence, de développement local, d’acceptation sociétale, de développement socio-économique’’, a-t-il dit.
‘’L’importance économique, socioculturelle et environnementale de l’extraction minière, pour les populations locales, et la nécessité d’une bonne gouvernance de ces ressources en faveur du développement durable sont reconnues dans les différents engagements de la Francophonie’’, a relevé M. Urayeneza.
‘’Il s’agit d’une opportunité à saisir, dans la perspective de l’adoption des nouveaux objectifs de développement durable et de l’agenda post-2015 des Nations-Unies, ainsi que dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie économique de la francophonie’’, a-t-il ajouté.
APS
Selon lui, ‘’la thématique de cet atelier, +le développement minier durable : un puissant levier pour la francophonie économique+, nous rappelle que la gestion et l’exploitation écologiques rationnelles et socialement responsables de ces ressources peuvent contribuer efficacement à la lutte contre la pauvreté par l’amélioration des conditions de vie des populations des territoires concernés’’.
Cette rencontre de deux jours ‘’sur la RSE dans les industries extractives en Afrique de l’Ouest vise à créer un espace de dialogue crédible en collaboration avec les parties prenantes en vue de faciliter l’adoption, et l’implantation de bonnes pratiques de développement durable dans le secteur des industries extractives en général, et minières en particulier’’.
Tharcisse Urayeneza a expliqué que ‘’la bonne gouvernance des industries extractives dans les pays francophones, est non seulement un puissant levier de la francophonie économique, mais c’est aussi un enjeu de taille pour tout ce qui est du développement durable, viable, équitable et productif de nos pays’’.
Cet atelier qui fait partie des manifestations d’environnement du XV sommet de la francophonie, prévue en fin novembre à Dakar est l’occasion pour les participants de se pencher sur ‘’les questions d’orpaillage, d’environnement, de gouvernance minière, de genre, de transparence, de développement local, d’acceptation sociétale, de développement socio-économique’’, a-t-il dit.
‘’L’importance économique, socioculturelle et environnementale de l’extraction minière, pour les populations locales, et la nécessité d’une bonne gouvernance de ces ressources en faveur du développement durable sont reconnues dans les différents engagements de la Francophonie’’, a relevé M. Urayeneza.
‘’Il s’agit d’une opportunité à saisir, dans la perspective de l’adoption des nouveaux objectifs de développement durable et de l’agenda post-2015 des Nations-Unies, ainsi que dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie économique de la francophonie’’, a-t-il ajouté.
APS