« La loi devra permettre le développement de scénarios d’énergies pour la contribution des énergies renouvelables dans le mixte énergétique, le développement d’une structure tarifaire appropriée pour les producteurs de modèles de contrats d’achat d’énergie ainsi que le renforcement de la capacité de la commission de régulation du secteur de l’électricité dans la gestion des appels d’offres spécifiés dans la loi sur les énergies renouvelables » indique Fatma Ben Fadhl.
« C’est la raison pour laquelle nous sommes là pour encadrer le ministère, la Commission de Régulation du Secteur de l’Electricité et d’autres partenaires dans l’acquisition d’outils de mise en œuvre et de connaissances » a-t-elle ajouté.
Elle s’exprimait lors de la cérémonie de clôture d’un atelier sur l’étude de la loi sur les énergies renouvelables au Sénégal.
Fatma Ben Fadhl, coordonnatrice du projet d’assistance technique a souligné que « le projet a été financé par l’Initiative Européenne pour l’Energie dans le programme de coopération dans le domaine des énergies renouvelables entre l’Afrique et l’union européenne à un budget moyen qui va devoir être complété par la suite par d’autres bailleurs de fonds ».
« Nous avons pu tenir un certains nombres d’événements au cours de la mise en œuvre du projet en réunissant les principales parties prenantes du secteur de l’énergie au Sénégal .Et pour cet atelier de clôture qui marque la fin de ce projet d’assistance technique , nous comptons échanger sur les résultats de cette assistance , des outils développés afin de voir quelles sont les prochaines étapes et quels types d’activités sont nécessaires par la suite pour continuer la mise en œuvre de la loi qui va permettre d’augmenter le nombre d’investisseurs dans le domaine des énergies renouvelables » a expliqué la coordonnatrice du projet d’assistance technique.
Poursuivant « il y’a déjà eu un processus de sélection de contrat qui a été géré par la Commission de Régulation du Secteur de l’Energie, la SENELEC entres autres et le mixte énergétique du Sénégal dans la nouvelle lettre de politique énergétique est de 20% pour les énergies renouvelables. Pour atteindre ce niveau nous avons besoin d’accélérer le nombre d’investissements à des tarifs convenables qui permettent de rendre les énergies renouvelables compétitifs avec les énergies fossiles ».
Selon la coordonnatrice de l’Initiative Européenne pour l’énergie « Ce projet a permis de mieux préparer les différents partenaires pour la mise en œuvre de la loi, à comprendre comment calculer les tarifs dans les contrats pour les énergies renouvelables et de mieux gérer les appels offres qui permettent de sélectionner des investisseurs de façon transparentes et aussi d’acquérir des connaissances à tous les niveaux de ces organisations pour pouvoir continuer le travail ».
Ndeye Maguette Kebé
« C’est la raison pour laquelle nous sommes là pour encadrer le ministère, la Commission de Régulation du Secteur de l’Electricité et d’autres partenaires dans l’acquisition d’outils de mise en œuvre et de connaissances » a-t-elle ajouté.
Elle s’exprimait lors de la cérémonie de clôture d’un atelier sur l’étude de la loi sur les énergies renouvelables au Sénégal.
Fatma Ben Fadhl, coordonnatrice du projet d’assistance technique a souligné que « le projet a été financé par l’Initiative Européenne pour l’Energie dans le programme de coopération dans le domaine des énergies renouvelables entre l’Afrique et l’union européenne à un budget moyen qui va devoir être complété par la suite par d’autres bailleurs de fonds ».
« Nous avons pu tenir un certains nombres d’événements au cours de la mise en œuvre du projet en réunissant les principales parties prenantes du secteur de l’énergie au Sénégal .Et pour cet atelier de clôture qui marque la fin de ce projet d’assistance technique , nous comptons échanger sur les résultats de cette assistance , des outils développés afin de voir quelles sont les prochaines étapes et quels types d’activités sont nécessaires par la suite pour continuer la mise en œuvre de la loi qui va permettre d’augmenter le nombre d’investisseurs dans le domaine des énergies renouvelables » a expliqué la coordonnatrice du projet d’assistance technique.
Poursuivant « il y’a déjà eu un processus de sélection de contrat qui a été géré par la Commission de Régulation du Secteur de l’Energie, la SENELEC entres autres et le mixte énergétique du Sénégal dans la nouvelle lettre de politique énergétique est de 20% pour les énergies renouvelables. Pour atteindre ce niveau nous avons besoin d’accélérer le nombre d’investissements à des tarifs convenables qui permettent de rendre les énergies renouvelables compétitifs avec les énergies fossiles ».
Selon la coordonnatrice de l’Initiative Européenne pour l’énergie « Ce projet a permis de mieux préparer les différents partenaires pour la mise en œuvre de la loi, à comprendre comment calculer les tarifs dans les contrats pour les énergies renouvelables et de mieux gérer les appels offres qui permettent de sélectionner des investisseurs de façon transparentes et aussi d’acquérir des connaissances à tous les niveaux de ces organisations pour pouvoir continuer le travail ».
Ndeye Maguette Kebé