''Je suis venu en visite au niveau des régions de Thiès et de Diourbel pour parler d’abord aux travailleurs et rendre visite aux autorités administratives pour les sensibiliser sur la nécessité de nous apporter leur soutien pour la réalisation des projets qui sont quand même nombreux au niveau de ces deux régions'', a-t-il notamment dit, au terme d’une rencontre avec le gouverneur de la région de Diourbel, Mouhamadou Moustapha Ndao.
Selon lui, des investissements importants sont prévus dans la délégation Thiès-Diourbel où seront construites les centrales de Taiba Ndiaye (appelée Tobène Power), de Mboro, de Malicounda.
La zone de Taiba Ndiaye devra aussi abriter une centrale éolienne. Il est également prévu la construction de centrale solaire à Santhiou Mékhé, à Touba et à Mérina Ndakhar.
'' L’ambition du président de la République est qu’on puisse avoir 1.000 mégawatts en 2017. Cela veut dire qu’en cinq ans il a l’ambition de faire autant sinon plus que ce qu’on a réalisé de 1960 à 2012'', a estimé M. Dieng.
Ainsi, il a rappelé qu’à l’arrivée au pouvoir du président Macky Sall en 2012, la pointe de la SENELEC tournait autour de 450 mégawatts dont les 150 étaient en location.
Mettant l’accent sur l’option du mixte énergétique dans la mise œuvre des investissements prévus, M. Dieng a indiqué que ''tout ce mixte-là devrait nous mener en 2017 à un kilowatt/heure au coût de production de 67 francs''.
Selon lui, les locations coûtaient à l’état 160 francs le kilowatts/heure en 2012. D’ailleurs, l’état avait déboursé 123 milliards de francs pour permettre ainsi à la SENELEC d’équilibrer son bilan.
''En 2017, l’ambition du président de la République est de dire que l’Etat ne va plus mettre un franc et on devrait aller vers une baisse des tarifs'', a ajouté Pape Dieng.
APS
Selon lui, des investissements importants sont prévus dans la délégation Thiès-Diourbel où seront construites les centrales de Taiba Ndiaye (appelée Tobène Power), de Mboro, de Malicounda.
La zone de Taiba Ndiaye devra aussi abriter une centrale éolienne. Il est également prévu la construction de centrale solaire à Santhiou Mékhé, à Touba et à Mérina Ndakhar.
'' L’ambition du président de la République est qu’on puisse avoir 1.000 mégawatts en 2017. Cela veut dire qu’en cinq ans il a l’ambition de faire autant sinon plus que ce qu’on a réalisé de 1960 à 2012'', a estimé M. Dieng.
Ainsi, il a rappelé qu’à l’arrivée au pouvoir du président Macky Sall en 2012, la pointe de la SENELEC tournait autour de 450 mégawatts dont les 150 étaient en location.
Mettant l’accent sur l’option du mixte énergétique dans la mise œuvre des investissements prévus, M. Dieng a indiqué que ''tout ce mixte-là devrait nous mener en 2017 à un kilowatt/heure au coût de production de 67 francs''.
Selon lui, les locations coûtaient à l’état 160 francs le kilowatts/heure en 2012. D’ailleurs, l’état avait déboursé 123 milliards de francs pour permettre ainsi à la SENELEC d’équilibrer son bilan.
''En 2017, l’ambition du président de la République est de dire que l’Etat ne va plus mettre un franc et on devrait aller vers une baisse des tarifs'', a ajouté Pape Dieng.
APS