chroniques
L’agence de Presse Sénégalaise (APS) nous apprend que pour atteindre cet objectif, le Programme de relance et d’accélération de la cadence de l’agriculture au Sénégal (PRACAS) entend concentrer son effort sur l’aménagement des vallées de l’Anambé et du fleuve Sénégal.
Si le PACRAS évalue les besoins de la première à 6 milliards, pas moins de 46,6 milliards seront nécessaires pour arriver à ses fins dans la vallée du fleuve Sénégal. En effet, ce sont 90 750 hectares qui feront l’objet d’un aménagement dans cette vallée. Au terme de l’opération, plus de 38 000 hectares seront consacrées aux cultures de contre-saison chaude et environ 50 000 hectares à celles de l’hivernage.
Alors que les travaux d’aménagement devraient commencer dans la vallée du fleuve Sénégal au début de la saison chaude, le financement nécessaire à la réalisation totale du programme n’est pas encore disponible puisque le pays ne dispose que de 8 milliards sur le total prévu pour la vallée du fleuve Sénégal tandis que 4 milliards manquent encore en ce qui concerne le volet relatif à la vallée de l’Anambé.
Ecofin
Si le PACRAS évalue les besoins de la première à 6 milliards, pas moins de 46,6 milliards seront nécessaires pour arriver à ses fins dans la vallée du fleuve Sénégal. En effet, ce sont 90 750 hectares qui feront l’objet d’un aménagement dans cette vallée. Au terme de l’opération, plus de 38 000 hectares seront consacrées aux cultures de contre-saison chaude et environ 50 000 hectares à celles de l’hivernage.
Alors que les travaux d’aménagement devraient commencer dans la vallée du fleuve Sénégal au début de la saison chaude, le financement nécessaire à la réalisation totale du programme n’est pas encore disponible puisque le pays ne dispose que de 8 milliards sur le total prévu pour la vallée du fleuve Sénégal tandis que 4 milliards manquent encore en ce qui concerne le volet relatif à la vallée de l’Anambé.
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